Table des matières
Quel itinéraire ?

1er jour – Vol pour New York – Arrivée à New York – Times Square – Financial district – Trinity Church – World Trade Center – Wall Street – Pont de Brooklyn – Times Square.
2e jour : Little Italy – Chinatown – Croisière Circle Line – Statue de la Liberté – Chelsea – High Line – Greenwich Village – Empire State Building.
3e jour : Midtown – Grand Central station – Chrysler Building – New York Public Library – Bryant Park – Diamond District – Cinquième Avenue – Rockefeller Center – East Village – Saint-Marks Place – Union Square – Madison Square – Flatiron Building – Broadway Avenue.
4e jour : Times Square – Central Park – Roosevelt Island – Spectacle à Broadway – Metropolitan Museum –
5e jour – Harlem – Central Park – Match de NBA au Barclays Center.
6e jour – Atlantic City.
7e jour – Museum d’histoire naturelle – Coney Island.
8e jour – Brooklyn Heights – Vol retour pour Paris.
Comment se rendre à New York et à quel prix ?
Les vols sont opérés au départ des aéroports parisiens Charles de Gaulle et Orly, à destination principalement des aéroports new-yorkais de John F. Kennedy (JFK) et Newark (EWR). La durée du vol direct est d’environ 7 à 8 heures.
Le prix d’un billet d’avion varie considérablement en fonction de la période de réservation, de la saison, de la compagnie aérienne et de la classe de voyage. Pour un vol aller-retour en classe économique, les tarifs peuvent débuter autour de 400 euros lors de promotions en basse saison, comme en janvier ou février. En saison moyenne, au printemps ou en automne, les prix se situent généralement entre 500 et 800 euros.
En haute saison, notamment durant l’été, les vacances de fin d’année ou les périodes de grands événements, les tarifs peuvent dépasser 900 euros, voire atteindre 1 200 euros ou plus pour des vols directs avec des compagnies traditionnelles. Les compagnies low-cost, qui proposent parfois des vols avec escale, peuvent afficher des prix légèrement inférieurs, mais cela implique souvent des temps de trajet plus longs et des services supplémentaires payants.
Il existe d’autres moyens de transport, comme le bateau, mais ils sont beaucoup moins pratiques et plus onéreux. Une traversée transatlantique en cargo ou en paquebot prendrait plusieurs jours et son coût serait significativement plus élevé que l’avion, souvent à partir de plusieurs milliers d’euros.
Il est conseillé de réserver plusieurs semaines, voire plusieurs mois à l’avance pour obtenir les meilleurs tarifs aériens. La flexibilité sur les dates de voyage permet également de trouver des options moins chères.
Comment relier le centre de New York et à quel prix depuis les aéroports Kennedy et Newark ?
Pour relier le centre de New York, notamment Manhattan, depuis l’aéroport John F. Kennedy (JFK), plusieurs options sont disponibles. Le taxi jaune offre un service direct vers n’importe quelle adresse de la ville. La course utilise un tarif fixe de 70 dollars, auxquels s’ajoutent les péages et un pourboire, pour un total approximatif de 80 à 90 dollars, soit environ 75 à 85 euros.
Les services de VTC comme Uber ou Lyft proposent des prix variables selon la demande, généralement comparables ou légèrement inférieurs à ceux des taxis.
Le train AirTrain JFK, qui relie les terminaux à la station de métro Jamaica ou à la gare de Howard Beach, est une alternative économique. L’AirTrain coûte 8,25 dollars. Combiné avec un billet de métro à 2,90 dollars, le trajet jusqu’à Manhattan revient à environ 11 dollars, soit un peu plus de 10 euros.
Des navettes privées partagées, comme celles de Go Airlink NYC, facturent environ 20 à 35 euros par personne pour une destination centrale.
Depuis l’aéroport Newark (EWR), le taxi applique un tarif météuré jusqu’à Manhattan. La course coûte généralement entre 70 et 100 dollars, péages et pourboire inclus, ce qui équivaut à 65-95 euros. Les applications de VTC suivent une logique tarifaire similaire.
Le train New Jersey AirTrain connecte les terminaux de Newark à la gare de Newark Airport Railroad Station. De là, un billet de train NJ Transit ou Amtrak mène à la gare de Penn Station à Manhattan. Le coût total pour l’AirTrain et le NJ Transit est d’environ 15,50 dollars, soit environ 14,50 euros. La compagnie ferroviaire Amtrak est une option plus confortable mais aussi plus chère.
Des services de navette partagée sont également disponibles pour des tarifs proches de ceux pratiqués depuis JFK, autour de 20-35 euros.
Comment se déplacer en transport en commun à New York ?
Se déplacer en transport en commun à New York repose principalement sur le réseau de métro, très étendu, complété par des bus et des ferrys. Le paiement s’effectue via la carte OMNY, un système de paiement sans contact, ou l’historique MetroCard.
Un trajet simple en métro ou en bus coûte 2,90 dollars, ce qui équivaut à environ 2,70 euros. Ce tarif donne accès à un trajet, avec des correspondances gratuites et illimitées entre le métro et les bus dans un délai de deux heures.
Il est possible d’acheter une MetroCard rechargeable pour 1 dollar (environ 0,95 euro) et d’y charger des crédits ou des forfaits illimités. Le forfait illimité de 7 jours est proposé à 34 dollars, soit environ 32 euros, et celui de 30 jours à 132 dollars, soit environ 123 euros.
Le système OMNY, plus récent, permet de payer directement avec une carte bancaire sans contact ou un téléphone portable au valideur ; il applique également un plafonnement journalier, qui après 12 trajets payants à l’unité dans la même journée, rend les trajets suivants gratuits.
Le réseau de bus couvre l’ensemble des cinq arrondissements, y compris les zones moins bien desservies par le métro. Les bus sont particulièrement utiles pour les trajets est-ouest à Manhattan ou pour se rendre dans des quartiers comme ceux du Bronx ou de Staten Island. La tarification est identique à celle du métro.
Le Staten Island Ferry, qui relie la pointe sud de Manhattan à Staten Island, est un service de ferry gratuit 24 heures sur 24. Il offre une vue remarquable sur la statue de la Liberté et la skyline de Manhattan, ce qui en fait une option à la fois pratique et touristique.
Pour se rendre depuis Manhattan vers les autres arrondissements comme le Queens ou Brooklyn, le métro reste le moyen le plus efficace. Des services de ferry payants, comme NYC Ferry, desservent également plusieurs zones le long de l’East River et de l’Hudson River, avec un tarif de 4 dollars (environ 3,75 euros) par trajet.
Quelles sont les formalités pour voyager à New York ?
Pour un ressortissant français souhaitant se rendre à New York, les formalités principales concernent l’autorisation de voyage et les documents nécessaires.
Autorisation de voyage (ESTA ou visa)
La plupart des voyageurs français se rendant aux États-Unis pour le tourisme ou les affaires pour un séjour de moins de 90 jours doivent obtenir une autorisation ESTA (Electronic System for Travel Authorization). Cette demande se fait en ligne, sur le site officiel du gouvernement américain, et coûte 21 dollars US. L’autorisation, généralement accordée rapidement, est valable deux ans ou jusqu’à l’expiration du passeport. Il est impératif de voyager avec le même passeport que celui utilisé pour la demande. Si le voyageur ne remplit pas les conditions de l’ESTA (par exemple, s’il a séjourné récemment dans certains pays), ou s’il prévoit un séjour de plus de 90 jours, il devra alors obtenir un visa de tourisme (B-2) auprès de l’ambassade des États-Unis, une procédure plus longue et plus coûteuse.
Passeport
Le passeport doit être un passeport électronique ou biométrique en cours de validité. Il n’a pas besoin d’être valable six mois après la date de retour prévue, mais il doit simplement être valable pour la durée du séjour sur le territoire américain. Cette règle est spécifique à l’accord d’exemption de visa avec les États-Unis.
Autres formalités
Il est fortement recommandé de souscrire une assurance voyage maladie et rapatriement, les frais de santé étant extrêmement élevés aux États-Unis. Les voyageurs doivent également se préparer aux contrôles de sécurité et d’immigration à l’aéroport, qui peuvent inclure des questions sur le motif du séjour et les ressources financières.
Avant le vol de retour vers la France, il n’y a pas de formalités spécifiques imposées par les autorités américaines, en dehors des contrôles de sécurité standards à l’aéroport.
Comment se rendre à Atlantic City depuis New York ?
Le moyen le plus direct est le bus. Des compagnies comme Greyhound ou NJ Transit proposent des départs fréquents depuis la Port Authority Bus Terminal à Manhattan. Le trajet dure entre 2 heures 30 et 3 heures 30, selon le trafic. Le prix d’un aller simple varie généralement entre 20 et 35 dollars, soit approximativement 18 à 32 euros. Des services de bus directs dédiés aux joueurs, comme ceux opérés par certains casinos, peuvent offrir des tarifs très avantageux, parfois incluant des bonnes d’achat, mais leurs horaires sont moins flexibles.
Le train est une alternative confortable, bien qu’il nécessite une correspondance. Il faut emprunter un train NJ Transit ou Amtrak depuis la gare de Penn Station à Manhattan pour se rendre à la gare de Philadelphia ou de Newark, puis prendre un autre train NJ Transit vers Atlantic City. Le voyage total dure environ 3 heures à 3 heures 45. Le coût total pour un aller simple se situe entre 30 et 60 dollars, soit environ 28 à 56 euros, selon le type de train et la classe.
La voiture, en location ou en covoiturage, offre la plus grande flexibilité. L’itinéraire emprunte principalement la Garden State Parkway. Le temps de trajet est d’environ 2 heures 30 sans encombrement, mais peut augmenter significativement aux heures de pointe ou les week-ends. Le coût du péage est d’environ 10 à 15 dollars (9 à 14 euros), auxquels s’ajoutent le carburant et éventuellement les frais de stationnement à Atlantic City.
Existe-t-il un pass pour faire des économies quand on visite New York ?
Oui, il existe plusieurs passes qui permettent de réaliser des économies lors d’une visite à New York. Leur rentabilité dépend du rythme et du nombre d’activités planifiées.
Le New York CityPass est l’un des plus populaires. Il donne accès à cinq attractions majeures, parmi lesquelles l’Empire State Building, le American Museum of Natural History, et le Top of the Rock Observatory ou le Guggenheim Museum, ainsi que le Ferry vers la Statue de la Liberté et Ellis Island ou un tour en bateau au départ de Times Square. Le prix est d’environ 150 dollars pour un adulte, soit approximativement 140 euros. Son avantage réside dans le fait qu’il offre une réduction significative par rapport au prix d’entrée individuel de chaque site, et il est valable pendant neuf jours consécutifs à compter de sa première utilisation.
Le New York Pass, fonctionnant sur une base de durée (1, 2, 3, 5, 7 ou 10 jours), inclut l’entrée à plus de 100 attractions, visites guidées et musées. Le prix pour un pass d’une journée est d’environ 115 dollars (environ 107 euros). Plus la durée est longue, plus le prix par jour diminue. Ce pass peut être économique pour les visiteurs souhaitant enchaîner plusieurs activités chaque jour, mais il peut s’avérer moins avantageux pour un programme plus léger.
Le Go City Pass est un concept similaire, proposant soit un pass toutes attractions illimitées pour une durée déterminée, soit un pass à un nombre d’attractions choisi. Les prix varient en fonction de la formule sélectionnée.
Pour les transports, le forfait illimité de 7 jours sur le métro et les bus, à 34 dollars (environ 32 euros), constitue une économie substantielle par rapport à l’achat de trajets individuels si l’on prévoit de se déplacer fréquemment.
Il est important de noter que ces passes n’incluent généralement pas l’accès à des observatoires très prisés comme le Edge ou le One World Observatory, qui nécessitent un billet séparé.
Comment louer une voiture à New York ? Et à quel prix ?
La location s’effectue généralement auprès des compagnies internationales présentes dans les aéroports (comme JFK, Newark, LaGuardia) ou dans des agences en ville, mais il est souvent plus simple et économique de retirer le véhicule directement à l’aéroport.
Pour louer, vous devez être titulaire d’un permis de conduire valide. Un permis de conduire français est accepté pour un séjour touristique de courte durée. Il est fortement recommandé, bien que non obligatoire légalement, de posséder un Permis International de Conduire, qui sert de traduction officielle et peut faciliter les échanges avec la compagnie de location ou les autorités. Le conducteur doit également être âgé d’au moins 21 ans, et les conducteurs de moins de 25 ans devront s’acquitter d’un supplément jeune conducteur quotidien. Une carte de crédit au nom du conducteur principal est indispensable pour la caution et le paiement.
Le prix de la location varie considérablement selon la saison, la durée de location, le type de véhicule et la compagnie. Pour une citadine économique, le tarif de base peut commencer autour de 40 à 60 euros par jour en basse saison. Ce prix n’inclut généralement pas les assurances complémentaires, les frais divers (comme la taxe aéroportuaire) et les suppléments optionnels (siège enfant, GPS). Il est crucial de lire attentivement les conditions pour comprendre ce qui est inclus.
Les assurances sont un élément clé du coût. La perte et le vol (CDW/LDW) sont souvent proposés en option, mais il est prudent de les souscrire compte tenu des risques et du coût élevé des réparations. Votre carte de crédit ou votre assurance personnelle peut parfois couvrir une partie de ces risques, il faut vérifier au préalable. L’assurance responsabilité civile est obligatoire et est normalement incluse dans le tarif de base.
Conduire à New York présente des défis spécifiques. La circulation est dense, le stationnement en ville est extrêmement cher et difficile à trouver, et les péages urbains sont nombreux. Pour un séjour centré sur Manhattan, l’utilisation de la voiture est souvent plus une contrainte qu’un avantage. Elle devient en revanche utile pour explorer des régions en dehors de la ville, comme les Hamptons, l’Hudson Valley ou pour un road trip.
Le prix final, assurances et taxes comprises, pour une location d’une semaine d’une voiture compacte, peut facilement atteindre 400 à 600 euros, voire plus. Il est conseillé de comparer les offres sur les sites internet des loueurs et d’utiliser des comparateurs en ligne pour trouver le meilleur tarif. La réservation à l’avance permet généralement d’obtenir des conditions plus avantageuses.
Voyager en bus dans le nord-est des Etats-Unis, une bonne solution alternative... si vous visez les grandes villes !
Voyager en bus dans le Nord-Est des États-Unis, une région densément peuplée qui s’étend de Washington D.C. à Boston en passant par New York, Philadelphia et Boston, présente plusieurs avantages pratiques et économiques. Le réseau de bus inter-États y est particulièrement développé, reliant les centres-villes entre eux de manière efficace.
Le principal atout est son coût très abordable. Les compagnies comme Greyhound, Megabus ou Peter Pan proposent des tarifs souvent bien inférieurs à ceux du train ou de l’avion pour des trajets similaires. Il est possible de trouver des billets à partir d’une vingtaine d’euros pour une liaison comme New York-Philadelphia ou New York-Boston, surtout si la réservation est effectuée à l’avance. Cette accessibilité financière en fait une option privilégiée pour les voyageurs avec un budget limité.
Un autre intérêt réside dans la connexion directe entre les cœurs urbains. Les gares routières sont généralement situées dans des emplacements centraux, à proximité des réseaux de transport local. Cela évite les longs trajets vers et depuis les aéroports souvent excentrés, permettant un gain de temps substantiel sur des distances courtes à moyennes.
Pour les trajets qui ne justifient pas de prendre l’avion, comme New York-Washington (environ 4 à 5 heures de bus), le bus devient une alternative compétitive. Le temps de trajet total, porte-à-porte, peut être comparable, voire inférieur, à celui d’un voyage en avion lorsque l’on inclut les formalités aéroportuaires et les transferts.
De nombreuses compagnies offrent désormais des services qui améliorent le confort du voyage, comme la Wi-Fi gratuit, des prises électriques individuelles et des sièges spacieux. Ces équipements permettent de travailler ou de se divertir pendant le trajet.
Enfin, le voyage en bus permet de voir le paysage défiler d’une manière plus concrète que depuis les airs. Bien que l’autoroute ne soit pas toujours le chemin le plus pittoresque, elle offre un aperçu des banlieues, des petites villes et des forêts qui caractérisent le corridor urbain du Nord-Est.
Et le train, c'est comment ? Est-ce vraiment une bonne idée ?
Le train dans le Nord-Est des États-Unis, principalement opéré par Amtrak, est une option de transport distincte du bus ou de l’avion. Son caractère pratique ou non dépend largement de l’itinéraire, du budget et des priorités du voyageur.
Sur le corridor très fréquenté entre Washington, New York et Boston, connu sous le nom de Northeast Regional, le train est souvent compétitif. Il offre un bon équilibre entre vitesse, confort et commodité. Les gares, comme la Penn Station à New York ou la 30th Street Station à Philadelphia, sont centrales et bien connectées aux transports locaux, évitant les longs transferts vers des aéroports excentrés. Le temps de trajet est généralement fiable car les voies ferrées sont moins sujettes aux embouteillages routiers. Un voyage de New York à Washington dure environ 3 heures 30, un temps souvent comparable, voire meilleur, que le bus et compétitif avec l’avion si l’on inclut le temps passé dans les aéroports.
Le confert à bord est généralement supérieur à celui d’un bus. Les voitures sont spacieuses, avec plus de place pour les jambes, des tables et la possibilité de se déplacer librement. Des services comme le Wi-Fi, bien que parfois irrégulier, et une voiture-restauration sont disponibles sur les lignes principales. Pour de longs trajets, comme New York à Chicago ou à Montréal, les trains de nuit offrent des couchettes, transformant le voyage en une expérience en soi.
Cependant, le principal inconvénient du train est son coût. Les billets sont significativement plus chers que ceux des bus. Un billet aller simple en classe économique sur le Northeast Regional peut coûter entre 50 et 150 dollars, soit environ 45 à 140 euros, selon la période et la flexibilité. Les tarifs à la dernière minute ou aux heures de poute peuvent être particulièrement élevés. En comparaison, un billet de bus pour la même destination coûte souvent moitié moins cher.
Prendre un taxi à New York ? Hors de prix ?
Pour une course typique dans Manhattan, par exemple de la gare Grand Central à Times Square, le tarif de base est de 3 dollars au départ, plus 2,50 dollars par mile (environ 1,6 km) parcouru et 0,50 dollar par minute d’attente dans la circulation. Avec les péages et le pourboire attendu (15 à 20 %), une course courte peut facilement coûter entre 15 et 25 dollars, soit environ 14 à 23 euros. Pour une traversée de Manhattan, de la 125e rue à Battery Park, le montant peut atteindre 35 à 45 dollars (32 à 42 euros), voire plus aux heures de pointe.
La comparaison avec les autres modes de transport est éclairante. Le même trajet en métro coûte 2,90 dollars (environ 2,70 euros), quel que soit le nombre de stations. Un service de VTC comme Uber ou Lyft propose souvent des tarifs comparables à ceux des taxis, parfois légèrement inférieurs en période de faible demande, mais pouvant augmenter considérablement lors des pics d’activité.
Le taxi devient une dépense justifiable dans certaines situations : lorsque l’on voyage avec plusieurs personnes et des bagages, tard dans la nuit, ou pour un trajet urgent où la fiabilité prime. Pour un trajet vers l’aéroport JFK depuis Manhattan, le tarif fixe est de 70 dollars (hors péages et pourboire), soit environ 65 euros, ce qui peut être compétitif par rapport à d’autres options porte-à-porte, surtout pour un groupe.
Ainsi, si le taxi n’est pas le choix le plus économique pour les déplacements quotidiens solitaires, son prix n’est pas systématiquement prohibitif. Il offre un service direct, disponible immédiatement et sans nécessiter de connexion internet pour une application.
Les VTC et compagnies comme Uber ou Bolt sont-ils une bonne alternative ?
Les services de VTC comme Uber, Lyft ou Bolt constituent une alternative courante aux taxis jaunes à New York. Leur pertinence dépend des circonstances du trajet, du budget et des préférences personnelles.
Le principal avantage réside dans la transparence tarifaire et la facilité d’utilisation. Le prix de la course est estimé à l’avance, ce qui évite les surprises, et le paiement est entièrement électronique. Les tarifs sont généralement comparables à ceux des taxis pour des trajets standards en dehors des périodes de forte demande. Par exemple, une course moyenne intra-Manhattan peut coûter entre 15 et 30 euros, selon la distance et l’heure. La possibilité de choisir différents types de véhicules, du plus économique au plus spacieux, offre une certaine flexibilité.
Cependant, la tarification dynamique peut rendre les VTC significativement plus chers que les taxis lors des heures de pointe, des intempéries ou des événements spéciaux. Un trajet qui coûte habituellement 20 euros peut voir son prix multiplié par deux ou trois pendant un pic d’activité. Dans ces situations, un taxi jaune, dont le tarif est fixé par la ville et ne fluctue pas, peut devenir plus avantageux.
Le confort et la propreté des véhicules sont souvent perçus comme supérieurs à ceux des taxis traditionnels. La possibilité de suivre l’itinéraire en temps réel sur son téléphone et de partager sa position avec des proches est également un atout appréciable pour de nombreux usagers.
Pour les trajets vers les aéroports, les VTC sont une option concurrentielle. Un trajet entre Manhattan et JFK coûte généralement entre 65 et 90 euros, un prix similaire à celui du taxi, mais avec la certitude du montant à payer dès la réservation. Ils évitent également l’incertitude de trouver un taxi disponible dans la rue avec ses bagages.
Le permis international est-il obligatoire pour rouler en Floride ?
Le permis international n’est pas strictement obligatoire pour conduire aux États-Unis avec un permis français. La règle générale acceptée par la plupart des États américains autorise les conducteurs étrangers à utiliser leur permis de conduire national valide, accompagné d’un passeport, pour un séjour temporaire à caractère touristique.
Cependant, cette règle comporte des nuances importantes. Certains États, ou même certains agents de location de véhicules, peuvent exiger la présentation d’un permis international en complément du permis national. Ce document, qui est une traduction officielle du permis, sert à faciliter la compréhension des informations par les autorités locales ou les compagnies de location en cas de contrôle. Il est délivré en France par la préfecture pour une durée d’un an et coûte environ 15 euros.
Se loger à New York, à l'hôtel, combien ça coûte ?
Se loger à l’hôtel à New York représente un poste de dépense important, les tarifs étant parmi les plus élevés des États-Unis. Le coût varie considérablement en fonction de la catégorie de l’hôtel, de son emplacement, de la saison et de la durée du séjour.
Pour un hôtel économique, comme une chaîne de type budget ou un établissement indépendant dans des quartiers périphériques de Manhattan (comme Long Island City) ou dans les arrondissements limitrophes comme le Queens ou Brooklyn, le prix pour une chambre double peut débuter autour de 100 à 150 euros par nuit. Ces établissements offrent généralement l’essentiel du confort, mais peuvent être plus éloignés des attractions principales.
Les hôtels de catégorie moyenne, que l’on trouve dans des zones comme Midtown, Hell’s Kitchen ou près de Gramercy Park, proposent des chambres plus spacieuses et des services supplémentaires (comme une salle de sport ou un restaurant). Leur tarif se situe le plus souvent entre 200 et 350 euros par nuit. La demande y est forte, surtout pendant les périodes de haute affluence.
Les hôtels de luxe, situés dans des quartiers emblématiques comme Central Park South, Fifth Avenue ou SoHo, affichent des tarifs qui reflètent leur prestige, leur service et leur emplacement exceptionnel. Il faut compter au minimum 400 à 600 euros par nuit, et les suites peuvent facilement dépasser 1 000 euros.
La saisonnalité a un impact majeur. Les tarifs grimpent significativement durant les fêtes de fin d’année, la saison estivale (juin à août), et lors de grands événements comme la Fashion Week ou le marathon de New York. Il est souvent possible de trouver des offres plus avantageuses en janvier-février ou en automne, hors Thanksgiving.
Les taxes hôtelières, non incluses dans le prix affiché, ajoutent un surplus non négligeable de plus de 14 % au total final, comprenant la taxe de vente et une taxe de séjour spécifique à New York.
Pour obtenir le meilleur prix, il est conseillé de réserver plusieurs mois à l’avance et de comparer les offres sur les sites des hôtels et des plateformes de réservation. La conversion en euros est indicative et sujette aux fluctuations du taux de change.
Se loger à New York, chez l'habitant en résidence type Airbnb, combien ça coûte ?
Se loger chez l’habitant à New York via des plateformes comme Airbnb ou Vrbo présente une fourchette de prix très large, influencée par des facteurs plus divers que pour les hôtels. Le coût dépend principalement du type de logement, de son emplacement exact, de la saison et de la durée du séjour.
Pour une chambre privée dans un appartement partagé avec l’hôte ou d’autres voyageurs, dans des quartiers résidentiels de Brooklyn comme Williamsburg ou Bushwick, ou dans certaines parties du Queens comme Astoria, les prix peuvent débuter autour de 70 à 100 euros par nuit. Cette option est la plus économique mais offre moins d’intimité.
Un logement entier, comme un studio ou un petit appartement “chez l’habitant” (où les propriétaires ne sont pas présents), représente un palier supérieur. Dans des quartiers périphériques mais bien desservis par le métro, les tarifs pour un studio se situent généralement entre 120 et 200 euros par nuit. Pour un appartement avec une chambre séparée dans des zones plus centrales de Brooklyn ou de Manhattan (comme Harlem ou l’East Village), il faut compter entre 180 et 300 euros par nuit, voire plus.
La saisonnalité impacte fortement les prix. Les tarifs peuvent augmenter de 30 à 50 % pendant les pics de demande comme les fêtes de fin d’année, l’été ou durant des événements majeurs. Une réservation plusieurs mois à l’avance permet souvent de sécuriser un meilleur prix.
Il est crucial de prendre en compte les frais supplémentaires qui s’ajoutent au prix de base annoncé. Les plateformes facturent des frais de service et de nettoyage qui peuvent représenter une somme significative, ajoutant facilement 15 à 25 % au coût total. Contrairement aux hôtels, les taxes de séjour ne sont pas toujours incluses dans le prix initial et peuvent être demandées séparément.
La réglementation new-yorkaise est un élément important. Les locations de moins de 30 jours pour un logement entier sont interdites si l’hôte n’est pas présent pendant le séjour, sauf si l’immeuble est classé comme “résidence hôtelière”. Cette loi stricte limite l’offre légale et peut influencer les prix et la disponibilité. Il est donc prudent de vérifier que la location est conforme à la loi pour éviter tout désagrément.
Se loger à New York, en auberge de jeunesse, combien ça coûte ?
Se loger en auberge de jeunesse à New York constitue l’option d’hébergement la plus économique pour les voyageurs, en particulier pour ceux voyageant seuls. Le coût est bien inférieur à celui des hôtels ou des locations Airbnb, mais il s’accompagne d’une absence d’intimité et de services réduits.
Pour un lit dans un dortoir mixte ou non mixte, généralement composé de 4 à 12 lits superposés, le prix varie entre 40 et 80 euros par nuit. Les tarifs les plus bas se trouvent dans des auberges moins centrales, par exemple dans certains quartiers de Brooklyn ou du Queens, ou pour des dortoirs de grande capacité. Les auberges situées à Manhattan, notamment près de Harlem, de l’Upper West Side ou du sud de l’île, sont plus chères, souvent à partir de 60 euros la nuit.
La saisonnalité affecte également les prix, avec une augmentation notable durant l’été, les fêtes de fin d’année et les périodes de vacances scolaires. Il est conseillé de réserver plusieurs semaines à l’avance pour garantir la disponibilité et parfois bénéficier de tarifs légèrement inférieurs.
Le prix inclut généralement l’accès à une salle de bains partagée, des casiers (souvent avec un cadenas à apporter ou à acheter sur place) et parfois des draps. Le petit-déjeuner simple, composé de café, de bagels ou de céréales, est souvent inclus, ce qui représente une économie supplémentaire. La plupart des auberges disposent d’une cuisine commune où les voyageurs peuvent préparer leurs repas, permettant de réduire substantiellement les dépenses alimentaires.
Les auberges de jeunesse modernes à New York offrent souvent des services complémentaires comme une connexion Wi-Fi gratuite, des espaces de coworking, des distributeurs de boissons et des activités sociales organisées. Ces équipements visent à créer une atmosphère communautaire et facilitent la rencontre entre voyageurs.
Il est important de noter que la qualité et la propreté peuvent varier d’un établissement à l’autre. La lecture attentive des avis en ligne est essentielle pour choisir une auberge réputée, safe et bien située par rapport aux transports en commun. Bien que ce mode d’hébergement soit spartiate, il permet de consacrer un budget plus important aux activités et à la découverte de la ville. Pour un voyageur solitaire acceptant de partager son espace, l’auberge de jeunesse reste la solution la plus abordable pour séjourner à New York.
Se loger à New York, au camping, combien ça coûte ?
Se loger en camping à New York est une option marginale et saisonnière, car l’offre est très limitée en raison de l’urbanisation dense. Les rares possibilités se situent en périphérie éloignée, nécessitant un trajet significatif pour atteindre le centre de Manhattan.
Le camping le plus souvent cité est le « Floyd Bennett Field », situé dans le sud de Brooklyn, au sein de la Gateway National Recreation Area. C’est le seul camping public accessible depuis New York même. Le tarif pour une nuit pour une tente pour deux personnes est d’environ 30 dollars, soit approximativement 28 euros. Des frais supplémentaires s’appliquent pour des véhicules ou des emplacements pour groupes. Les commodités sont basiques, avec des toilettes et des points d’eau, mais sans branchements électriques individuels. La réservation, obligatoire, s’effectue via le site fédéral Recreation.gov.
D’autres options existent en dehors de la ville, dans un rayon de 80 à 150 kilomètres, dans l’État de New York ou dans le New Jersey. Par exemple, les campings des parcs d’État de Harriman ou de Liberty Valley. Les prix pour un emplacement de tente sont similaires, entre 25 et 40 euros par nuit. Cependant, le coût et le temps de transport pour rejoindre la ville depuis ces campings sont élevés. Un aller-retour en train ou en bus peut coûter entre 20 et 40 euros par personne et par jour, ajoutant une dépense substantielle au séjour.
La saison d’ouverture de ces campings est généralement restreinte à la période estivale, d’avril-mai à octobre. Les réservations doivent être faites longtemps à l’avance, surtout pour les week-ends.
Se nourrir à New York, ça coûte combien ?
Pour un budget serré, il est possible de manger pour environ 25 à 40 euros par jour. Un petit-déjeuner basique composé d’un café et d’un bagel ou d’un muffin coûte 5 à 8 euros. Le déjeuner peut consister en un repas rapide et économique, comme une part de pizza (environ 4 à 6 euros) ou un hot-dog d’un vendeur de rue (3 à 5 euros). Le dîner pourrait être un plat à emporter d’un petit restaurant, comme des nouilles ou un curry, pour 12 à 18 euros. Boire l’eau du robinet, qui est potable, permet d’éviter le coût des boissons.
Avec un budget moyen de 50 à 90 euros par jour, les possibilités s’élargissent. Le petit-déjeuner dans un café peut inclure des œufs et du bacon pour 12 à 18 euros. Le déjeuner dans un restaurant casual comme un diner ou un établissement de midi propose souvent des plats principaux entre 15 et 25 euros. Le dîner dans un restaurant à service complet, avec un plat principal et une boisson non alcoolisée, se situe généralement entre 30 et 50 euros par personne, hors pourboire.
Pour une expérience gastronomique dans des restaurants réputés, le budget peut facilement dépasser 100 euros par repas, hors alcool. Un dîner de plusieurs plats avec une boisson peut coûter 150 à 300 euros ou plus.
Le pourboire, qui n’est pas inclus dans les prix affichés, ajoute un coût obligatoire de 15 à 20 % du total de l’addition dans les restaurants à service. Pour les repas à emporter, le pourboire n’est pas obligatoire mais un pourcentage réduit est souvent apprécié.
Faire ses courses dans des supermarchés comme Trader Joe’s, Whole Foods ou dans des épiceries locales est une option pour réduire les coûts. Un déjeuner préparé soi-même (sandwich, salade) peut revenir à 7 à 10 euros. Cela représente une économie substantielle sur la durée d’un séjour.
Ainsi, le coût de l’alimentation est hautement variable. Un touriste qui alterne entre quelques repas économiques, un pique-nique et un ou deux restaurants plus confortables peut avoir un budget alimentaire quotidien raisonnable de 45 à 70 euros, en tenant compte du pourboire. La conversion en euros est indicative et sujette aux fluctuations du taux de change.
Quel budget pour les sorties ?
Le budget pour les sorties à New York est très variable, dépendant du type d’activités et du niveau de confort recherché. Il faut anticiper des dépenses pour les attractions culturelles, les divertissements et les loisirs.
L’accès aux principales attractions payantes constitue une part importante du budget. L’entrée pour des observatoires comme le Top of the Rock ou l’Empire State Building coûte entre 40 et 50 euros par adulte. Les musées tels que le MoMA ou le Musée d’histoire naturelle ont des tarifs d’entrée compris entre 20 et 30 euros. Des spectacles de Broadway représentent un coût significatif, avec des billets allant de 60 euros pour les places les plus économiques à plusieurs centaines d’euros pour les meilleures places, surtout pour les comédies musicales très populaires.
Les activités plus informelles, comme se promener dans des parcs (Central Park, High Line), explorer des quartiers comme Williamsburg à Brooklyn ou se rendre sur les plages de Coney Island, sont gratuites ou peu coûteuses. Une balade à vélo dans Central Park, avec une location horaire, peut revenir à 15-20 euros.
Le divertissement nocturne dans les bars et clubs implique des dépenses supplémentaires. Un verre de bière dans un bar standard coûte environ 8 à 10 euros, et un cocktail dans un établissement plus huppé peut facilement atteindre 15 à 20 euros. L’entrée dans certaines boîtes de nuit peut varier de 20 à 50 euros, surtout le week-end.
Pour les amateurs de sport, assister à un match professionnel (NBA, MLB) est une sortie typique, avec des billets allant de 40 euros pour les places les plus hautes à plusieurs centaines d’euros pour les rencontres majeures.
Une façon de maîtriser le budget est d’utiliser des passes comme le New York CityPASS, qui offre un accès groupé à plusieurs attractions à prix réduit. Rechercher les heures d’entrée gratuite ou à prix libre dans certains musées (comme le MET qui a une politique de prix libre pour les residents mais un tarif fixe pour les touristes) peut aussi permettre des économies.
Un budget quotidien raisonnable pour les sorties, en excluant l’hébergement et la nourriture, pourrait se situer entre 50 et 100 euros par personne, en alternant entre une attraction majeure et des activités gratuites.
Les tarifs des musées et des entrées des sites touristique sont-ils abordables à New York ?
Le coût d’entrée pour les attractions majeures est significatif. Par exemple, l’accès à l’observatoire du Top of the Rock ou de l’Empire State Building coûte généralement entre 40 et 50 euros par adulte. Les musées les plus populaires, comme le Musée d’Histoire naturelle ou le MoMA, facturent des billets d’entrée individuels compris entre 22 et 28 euros. Des sites comme le MET (The Metropolitan Museum of Art) appliquent un tarif officiel de 30 euros pour les visiteurs hors de l’État de New York, bien que le principe soit celui d’un prix “recommandé” pour les résidents. Pour un touriste, il s’agit souvent d’un montant fixe.
Cependant, cette apparente cherté doit être nuancée par plusieurs facteurs. De nombreuses institutions culturelles pratiquent des créneaux horaires avec entrée gratuite ou à prix libre. Le MoMA, par exemple, offre une entrée gratuite un soir par semaine. La High Line, promenade urbaine emblématique, est entièrement gratuite. Des expériences comme se promener dans Central Park, traverser le Brooklyn Bridge ou explorer les quartiers de SoHo ou de Williamsburg n’engendrent aucun coût.
La véritable clé pour rendre ces visites abordables réside dans l’utilisation de passes touristiques. Le New York CityPASS, qui coûte environ 140 euros, permet de visiter cinq ou six attractions majeures à un prix bien inférieur à celui du cumul des entrées individuelles. Le New York Pass, un forfait à durée déterminée, peut être économiquement avantageux pour les visiteurs souhaitant enchaîner plusieurs sites par jour.
Ainsi, l’abordabilité dépend largement de la planification. Un visiteur qui paie chaque entrée séparément sans stratégie trouvera les prix élevés. En revanche, un touriste qui combine judicieusement les passes, profite des gratuités et alterne avec des activités sans frais peut équilibrer son budget tout en profitant d’une offre culturelle exceptionnellement riche. La valeur perçue est également importante : les collections de musées comme le MET ou le Guggenheim sont si vastes et de si haute qualité que le prix d’entrée peut être considéré comme justifié
Quels sont les meilleurs bons plans quand on visite New York pour faire des économies ?
Visiter New York avec un budget maîtrisé nécessite de connaître quelques astuces qui permettent de réduire substantiellement les coûts.
Le transport est un poste où les économies sont significatives. L’acquisition d’une carte MetroCard à forfait illimité de 7 jours pour 34 dollars (environ 32 euros) est judicieuse dès que l’on prévoit plus de deux trajets par jour. Elle offre un accès illimité au métro et aux bus, bien plus avantageuse que l’achat de trajets unitaires. La marche reste le meilleur moyen de découvrir les quartiers gratuitement.
Pour la culture, la stratégie consiste à profiter des créneaux horaires à prix libre ou gratuits. De nombreux musées prestigieux, comme le MoMA ou le Whitney Museum, proposent une entrée gratuite un soir spécifique de la semaine. Les réservations sont souvent obligatoires. Se promener sur la High Line, traverser le Brooklyn Bridge à pied, ou explorer les parcs comme Central Park et Prospect Park sont des activités emblématiques et entièrement gratuites.
Concernant les monuments et observatoires, l’achat d’un pass comme le New York CityPASS (environ 140 euros) est rentable si la liste des attractions correspond à son programme. Il permet de visiter cinq ou six sites majeurs à un coût réduit. Une alternative à certains observatoires payants est de profiter de bars d’hôtel en hauteur, comme le Bar SixtyFive au Rainbow Room, où le prix d’un cocktail (environ 25 euros) offre une vue spectaculaire sans le prix d’entrée d’un observatoire.
Pour se nourrir, éviter les restaurants touristiques de Times Square. Privilégier les food trucks et les comptoirs pour un déjeuner rapide et authentique, comme un plat de falafel ou de riz cantonais pour 8 à 12 euros. Les chaînes de magasins d’alimentation comme Trader Joe’s ou Whole Foods proposent des plats préparés et des salades bar à prix raisonnables pour composer un pique-nique.
Enfin, pour le logement, envisager des quartiers bien desservis mais en dehors de Midtown Manhattan, comme Long Island City dans le Queens ou Williamsburg à Brooklyn, peut faire baisser le coût des nuits d’hôtel de 30 à 40% tout en restant à quelques stations de métro des attractions centrales.
Une planification rigoureuse, comme réserver les billets de spectacle le jour même au TKTS Booth pour obtenir des places à demi-prix, ou vérifier les prévisions météo pour organiser les activités extérieures, permet d’optimiser son séjour. Ces bonnes pratiques transforment un voyage coûteux en une expérience accessible.
Parlons sécurité
New York est considérée comme l’une des grandes villes les plus sûres des États-Unis, avec un taux de criminalité global ayant significativement baissé depuis les décennies passées. Cependant, comme dans toute métropole dense, la sécurité nécessite une attention constante et l’adoption de précautions de bon sens.
La plupart des quartiers touristiques centraux, comme Midtown, Times Square, Battery Park ou les zones autour des musées, sont très fréquentés jour et nuit et bénéficient d’une présence policière visible. La probabilité d’être confronté à un crime violent dans ces secteurs est faible. La vigilance doit surtout porter sur les délits d’opportunité, tels que le vol à la tire ou l’arnaque. Il est conseillé de garder ses affaires personnelles, comme son portefeuille, son téléphone et son appareil photo, en lieu sûr et d’éviter de les exposer de manière ostentatoire dans les foules.
Certains quartiers, en particulier dans le Bronx, certaines parties de Brooklyn ou de Harlem, peuvent présenter des taux de criminalité plus élevés, surtout la nuit. Il est prudent de se renseigner sur la réputation du quartier où l’on souhaite se rendre et d’éviter de s’y aventurer seul après la tombée de la nuit si l’on ne connaît pas les lieux. Les transports en commun, globalement sûrs, demandent de l’attention aux heures de faible affluence ; il est préférable d’utiler les wagons où se trouvent d’autres passagers et de rester vigilant dans les stations moins fréquentées.
Les arnaques visant spécifiquement les touristes sont courantes. Elles peuvent prendre la forme de vendeurs proposant des billets de spectacle contrefaits, de personnes proposant des tours en taxi à prix exorbitant ou d’individus distrayant la victime pour la dérober. Il est recommandé d’acheter les billets auprès de vendeurs autorisés et d’ignorer les sollicitations trop insistantes.
En cas de problème, le numéro d’urgence unique à composer est le 911. Les policiers new-yorkais sont généralement facilement abordables dans la rue pour indiquer son chemin ou signaler un incident mineur.
Surtout ne consommez pas de drogues à New York !
La consommation de drogues à New York, comme sur l’ensemble du territoire américain, est strictement réglementée par des lois fédérales et étatiques dont les conséquences juridiques et personnelles sont extrêmement graves pour les visiteurs étrangers.
Sur le plan légal, la possession, même en quantité minime, de substances illicites telle que la marijuana récréative, la cocaïne, les MDMA ou les drogues de synthèse, est un délit pénal. Les peines encourues varient selon la substance et la quantité, allant de lourdes amendes à des peines d’emprisonnement. Une arrestation pour possession de drogue peut entraîner une détention immédiate, des poursuites judiciaires coûteuses et une expulsion du territoire américain. Elle rendrait également impossible toute entrée future aux États-Unis, le visa étant révoqué de manière permanente.
Au-delà des risques juridiques, les risques pour la santé sont majeurs. Le marché illicite n’offre aucun contrôle de qualité, et les substances peuvent être coupées avec des produits extrêmement dangereux, comme le fentanyl, un opioïde synthétique responsable d’un nombre important de décès par overdose, même à dose infime. Les services d’urgence new-yorkais sont fréquemment confrontés à des cas d’intoxication aiguë liés à des produits contaminés ou à une puissance imprévisible.
La ville de New York, en particulier des quartiers comme Times Square ou Washington Square Park, peut donner une impression de tolérance en raison de la visibilité de certains comportements. Cette perception est trompeuse. Les autorités appliquent la loi, et les opérations de police sont régulières. L’idée que la consommation de marijuana est “décriminalisée” à New York mérite une précision importante : bien que la possession de petites quantités ait été dépénalisée pour les résidents dans un contexte spécifique, cette tolérance ne s’applique absolument pas aux touristes. Pour un visiteur étranger, toute infraction liée à la drogue aura des conséquences disproportionnées et irréversibles.
Il est essentiel de comprendre que les conséquences d’une arrestation dépassent de très loin les effets recherchés. Elles peuvent compromettre définitivement la possibilité de voyager aux États-Unis et avoir un impact durable sur la vie personnelle et professionnelle. La seule attitude responsable est de s’abstenir complètement de toute consommation, possession ou transaction liée à des substances illicites.
Les prises électriques sont-elles les mêmes à New York ?
Non, les prises électriques ne sont pas les mêmes à New York qu’en France. Les États-Unis utilisent un modèle différent pour la tension, la fréquence et la forme des prises.
Pour ces appareils, seul un adaptateur physique est nécessaire pour adapter les broches à la prise murale.
Les prises murales américaines sont de type A et B. La type A a deux broches plates parallèles. La type B a ces deux broches plates plus une broche ronde pour la terre. L’adaptateur de voyage le plus courant à se procurer est donc celui qui permet de brancher des fiches européennes (type E/F) dans des prises américaines (type A/B).
Quelle langue parler à New York ?
À New York, la langue principale et universellement utilisée est l’anglais. C’est la langue de l’administration, des panneaux indicateurs, des transports en commun, des menus dans la majorité des restaurants et des communications officielles. Maîtriser quelques bases d’anglais est donc très utile pour les déplacements, les achats et les interactions courantes.
Cependant, New York est l’une des villes les plus cosmopolites du monde, où des centaines de langues sont parlées en raison des communautés immigrées très importantes. L’espagnol est très répandu, en particulier dans des quartiers comme Washington Heights ou Jackson Heights. Vous trouverez également des communautés où le mandarin, le cantonais, le russe, le bengali, l’italien ou le yiddish sont couramment utilisés.
Dans les zones très touristiques (Times Square, musées, grands magasins), il est fréquent que le personnel soit multilingue et puisse communiquer en français, en espagnol, en mandarin ou dans d’autres langues pour assister les visiteurs. De nombreux restaurants proposent des menus en plusieurs langues, dont le français.
Si vous ne parlez pas anglais, il est possible de se faire comprendre dans de nombreux établissements grâce au langage gestuel, à une application de traduction sur smartphone ou en ayant quelques phrases clés écrites. La gentillesse et la patience sont souvent de rigueur.
Comment puis-je utiliser mon téléphone portable à New York ?
Pour utiliser votre téléphone portable à New York, plusieurs options s’offrent à vous, dépendant de votre opérateur actuel, de la durée de votre séjour et de vos besoins en données.
Si vous souhaitez conserver votre numéro français, la solution la plus simple est de souscrire à une option “roaming” ou “itinérance” auprès de votre opérateur. La plupart des forfaits proposent désormais des forfaits voyage inclus ou des pass journaliers pour les États-Unis. Par exemple, Free Mobile inclut les États-Unis dans son forfait, tandis qu’Orange et Bouygues Télécom proposent des pass à quelques euros par jour (généralement entre 1 et 3 euros par jour) pour conserver vos appels, SMS et données. Cette option est pratique pour un séjour court mais peut devenir coûteuse pour un long voyage, surtout si vous utilisez beaucoup de données.
Une alternative économique, surtout pour un séjour prolongé, est d’acheter une carte SIM locale américaine. Vous pouvez en acheter une dans les aéroports (comme chez Verizon, T-Mobile ou AT&T), dans les magasins d’électronique ou en ligne avant votre départ. Le coût est variable : un forfait prépayé avec appels illimités et quelques gigaoctets de données peut coûter entre 30 et 50 euros pour un mois. Cette option nécessite que votre téléphone soit “débloqué” et compatible avec les réseaux américains (fréquences 4G/5G).
Si votre téléphone est récent, une troisième option est d’utiliser une eSIM. De nombreux opérateurs américains proposent des forfaits data directement téléchargeables sur votre appareil, sans besoin de carte physique. Cela évite de devoir changer de carte SIM et peut être configuré avant même votre arrivée. Les prix sont similaires à ceux des cartes SIM physiques.
Quelle que soit l’option choisie, New York bénéficie d’une couverture réseau excellente en 4G/5G dans presque toute la ville. Les Wi-Fi publics sont également largement disponibles dans les hôtels, cafés, restaurants et certains parcs, ce qui permet de réduire l’utilisation des données mobiles.
Les femmes peuvent-elles voyager seules à New York ?
Oui, les femmes peuvent tout à fait voyager seules à New York. La ville est généralement considérée comme l’une des métropoles les plus sûres et les plus adaptées aux voyageuses solitaires, grâce à son environnement dynamique, sa population habituée à la diversité et une présence policière visible dans les zones fréquentées.
La clé d’un séjour serein réside dans l’adoption de précautions de bon sens, similaires à celles applicables dans toute grande ville. Il est conseillé de rester vigilante dans les transports en commun aux heures de faible affluence, en privilégiant les wagons occupés et proches du conducteur. La marche à pied est très courante, mais il est préférable d’éviter les rues désertes et peu éclairées tard le soir, en particulier dans des quartiers moins familiers. Pour les déplacements nocturnes, l’utilisation de taxis ou de services de VTC comme Uber ou Lyft offre une alternative sécurisée et pratique.
L’ambiance new-yorkaise est globalement directe mais respectueuse. Les interactions avec les inconnus dans les lieux publics sont courantes et généralement bienveillantes, mais il est possible d’ignorer poliment les sollicitations non souhaitées sans craindre d’être suivie. Les établissements tels que les cafés, les musées ou les bars à cocktails sont tout à fait adaptés à une clientèle féminine seule, et il est fréquent d’y voir des New-Yorkaises travaillant ou dînant seules.
En cas de besoin, les secours (911) sont accessibles à tout moment, et les forces de l’ordre sont habituées à intervenir rapidement.
Parlons argent, banque et change
Bon, côté monnaie, pas de surprise. Vous vous doutez bien qu’en Amérique, le dollar est roi en son pays. Au cours de février 2024, vous obtiendrez grosso-modo 1, 10 $ pour un euro. Eh oui, le cours de la monnaie américaine s’est largement redressé depuis quelques années.
Pour ce qui est de l’argent liquide, là encore pas de panique. N’oubliez pas que vous êtes au pays du capitalisme ! Et chez l’Oncle Sam, vous trouverez des distributeurs automatiques (ATM) à peu près partout. Encore plus si vous posez vos valises à Las Vegas ! Là, vous en trouverez même dans les couloirs de votre hôtel ! A mon sens, c’st le meilleur moyen d’obtenir de l’argent liquide. Ne vous embêtez pas à faire du change depuis la France, ça ne vous servira absolument à rien. Une fois à l’aéroport, prenez un peu d’argent au distributeur et en avant à travers les routes du grand ouest américain ! Je vous recommande quand même de prendre une bonne petite somme car à chaque retrait une commission fixe (3-7 $) est prélevée. Bref, le retrait dans les ATM est vraiment la bonne solution, d’autant que les bureaux de change de sont pas nombreux et leur taux n’est vraiment pas intéressant.
Pour ce qui est des paiements, là aussi, le plus simple est de payer par carte. Tout ou presque se paie par carte. Et bonne nouvelle, depuis quelques années, plus besoin de signer pour chaque transaction. Les cartes à puces sont enfin généralisées. En gros, payez comme vous le feriez en France. Pour le reçu, beaucoup vous proposeront de vous l’envoyer directement sur votre adresse mail.
Deux petites précisions. Gardez sur vous votre passeport car il se peut qu’on vous le demande le temps de la transaction (ne me demandez pas pourquoi !). Il se peut aussi qu’on vous demande au moment de présenter votre carte : « Debit or credit ? ». Si vous n’avez pas de compte aux États-Unis, la réponse est « credit ».
Quels sont les vaccins à faire pour voyager en Floride ?
Bonne nouvelle, pour se rendre aux Etats-Unis, aucune vaccination n’est exigée. Veillez juste à être à jour de vos vaccinations universelles (tétanos, polio, coqueluche et diphtérie, hépatites A et B. ).
Pensez à prendre une assurance si vous ne voulez pas vous ruiner en soins !
Avant de vous rendre aux Etats-Unis, je ne saurais que trop vous conseiller de souscrire une bonne assurance intégrale qui vous permettra de vous faire rembourser vos soins si vous tombez malade. Nous qui sommes habitués à ne quasiment rien débourser pour couvrir nos soins de santé, aux Etats-Unis, il en va tout autrement. Sachez qu’il vous faudra débourser entre 150 et 200 dollars pour une consultation ! Et je ne vous parle même pas d’une consultation aux urgences qui peut vous coûter des milliers d’euros avec les soins qu’elle entraîne ! Bref, prenez une assurance !
Et si vous le pouvez, prenez une petite pharmacie avec vous car les médicaments coûtent aussi très cher aux USA. Sachez par ailleurs que certains médicaments qui nécessitent une ordonnance en France sont vendus librement dans des drugstores
Quelle est la meilleure saison pour partir à New York ?
Le printemps, d’avril à juin, est souvent considéré comme la saison idéale. Les températures deviennent douces, comprises entre 15°C et 25°C, et les parcs se couvrent de fleurs. Cette agréable météo est propice à la marche et à l’exploration des quartiers. C’est également une période riche en événements culturels, comme les expositions dans les musées. L’inconvénient principal est une affluence touristique croissante et des prix d’hébergement assez élevés, surtout en mai et juin.
L’automne, de septembre à novembre, est une autre excellente période. Le temps est similaire au printemps, avec des journées ensoleillées et des soirées fraîches, et le feuillage des arbres dans Central Park prend des couleurs flamboyantes, particulièrement en octobre. La foule diminue après la rentrée scolaire de septembre, sauf durant la Thanksgiving fin novembre, qui marque le début de la haute saison hivernale. Les prix sont généralement plus accessibles en septembre et début octobre.
L’été, de juillet à août, apporte une chaleur souvent étouffante et humide, avec des températures pouvant dépasser 30°C. L’ambiance est vibrante, avec de nombreux festivals en plein air, des cinémas en plein air et une vie nocturne animée. Cependant, la forte affluence et les prix élevés peuvent être dissuasifs. La chaleur peut également rendre les longues visites à pied moins confortables.
L’hiver, de décembre à février, est froid et souvent enneigé, avec des températures pouvant descendre en dessous de 0°C. C’est la basse saison touristique, sauf pendant les deux semaines entourant Noël et le Nouvel An, où les prix s’envolent. Les décorations des fêtes de fin d’année créent une atmosphère magique, mais les courtes journées et le froid mordant limitent les activités de plein air. C’est la période la plus économique pour le logement, en dehors des fêtes.
Ainsi, le printemps et l’automne offrent le meilleur équilibre entre un climat agréable et une expérience authentique de la ville.
Quel décalage horaire ?
Lorsque l’Europe et New York appliquent l’heure d’été, le décalage est de 6 heures. Lorsqu’il est 18 heures à Paris, il est midi à New York.
Lorsque l’Europe est à l’heure d’hiver et New York à l’heure d’été (c’est-à-dire entre le dernier dimanche d’octobre et le dernier dimanche de mars), le décalage est de 5 heures. Lorsqu’il est 18 heures à Paris, il est 13 heures à New York.
Que mettre dans la valise pour partir à New York ?
La composition de la valise pour New York doit être réfléchie en fonction de la saison, des activités prévues et du mode de transport dominant dans la ville, qui est la marche. Le principe de base est d’opter pour des tenues pratiques, confortables et superposables, adaptées à un rythme de tourisme actif.
Quelle que soit la saison, des chaussures de marche confortables et déjà rodées sont indispensables. Le choix le plus judicieux est une paire de chaussures fermées, type baskets ou bottines, qui protégera des longues distances sur le bitume et du métro. Le climat new-yorkais étant variable, il est sage de prévoir un vêtement imperméable et coupe-vent, même en été, ainsi qu’un pull ou une veste légère pour les intérieurs souvent climatisés de manière intensive.
En été, les vêtements légers en coton ou en lin sont appropriés pour la chaleur et l’humidité. Un chapeau ou une casquette et des lunettes de soleil sont utiles pour les journées ensoleillées. Il faut garder à l’esprit que certains restaurants ou établissements peuvent avoir un code vestimentaire informel exigeant une tenue correcte, évitant les tenues de plage trop décontractées.
En hiver, la stratégie consiste à superposer les couches pour s’adapter aux grands écarts de température entre l’extérieur froid et les intérieurs surchauffés. Sous-vêtements thermiques, pulls chauds et un manteau long, imperméable et bien isolant sont nécessaires. Des accessoires comme un bonnet, une écharpe épaisse et des gants deviennent indispensables, surtout pour les files d’attente devant les attractions ou les balades dans les parcs.
D’un point de vue pratique, il est avisé d’emporter les médicaments personnels avec leur ordonnance, ainsi qu’une trousse de premiers secours basique. Un adaptateur de prise électrique pour les fiches américaines est obligatoire pour recharger les appareils électroniques. Une gourde réutilisable est également recommandée, l’eau du robinet étant potable, ce qui permet des économies.
Quels souvenirs acheter à New York ?
Parmi les classiques incontournables, on trouve les reproductions des monuments célèbres. Une petite statue de la Statue de la Liberté ou une maquette de la skyline, notamment de l’Empire State Building, sont des achats très répandus. Les vêtements arborant le logo « I ♥ NY » ou le nom des équipes sportives locales, comme les Yankees de New York avec leur célèbre casquette bleue et blanche, restent des choix populaires. On les trouve dans de nombreuses échoppes de souvenirs, notamment autour de Times Square.
Pour un souvenir plus durable et de meilleure qualité, les produits alimentaires locaux sont une excellente option. Un bagel séché ou des produits de la marque Junior’s, réputée pour ses cheesecakes, peuvent être trouvés dans les épiceries fines ou les aéroports. Les amateurs de cuisine rapporteront volontiers une bouteille de sauce barbecue de Brooklyn ou des spécialités d’un des nombreux marchés de la ville, comme le Chelsea Market.
L’art et l’artisanat new-yorkais offrent des possibilités plus uniques. Une reproduction d’une affiche de spectacle de Broadway achetée directement au théâtre, une œuvre d’un artiste local trouvée dans une galerie de SoHo ou du Lower East Side, ou encore des créations de designers indépendants vendues dans les boutiques de Williamsburg à Brooklyn, constituent des souvenirs plus personnels.
Les librairies indépendantes, comme The Strand près de Union Square, proposent des éditions originales ou des livres de photographies sur New York. Pour les enfants, un jouet vintage ou un livre provenant d’un magasin spécialisé de Manhattan peut être un cadeau apprécié.
Enfin, un souvenir immatériel mais précieux peut être un enregistrement d’un concert de jazz dans un club de Greenwich Village ou une photo personnelle imprimée sur toile représentant un lieu emblématique, créant ainsi un souvenir entièrement personnel.
Ne passez pas pour un radin, laissez un pourboire !
Le pourboire : voilà un des points épineux de votre budget et de votre voyage ! Car il va falloir que vous preniez en compte cette réalité toute simple : au pays du capitalisme roi, les travailleurs gagnent plus en pourboires qu’en salaire et attendent donc de vous que vous soyez généreux.
La règle numéro un, c’est de ne surtout pas l’oublier au taxi (quitte à vous faire injurier par votre chauffeur !), ni encore moins à l’hôtel si on vous aide à porter vos bagages. Au restaurant, sachez que la serveuse qui se perd en sourires et se plie en quatre pour que vous soyez satisfait attend de vous que vous soyez généreux au moment de régler la note.
Alors combien doit-on donner ? La règle, c’est entre 15 et 20% de la note globale.
Peut-on boire l'eau du robinet ?
Oui, il n’y a aucun problème. L’eau aux Etats-Unis est potable. Vous trouverez même des fontaines à eau pour vous désaltérer et remplir votre gourde.
Et les toilettes, c'est comment ?
Vous êtes au pays des toilettes propres ! Aucun soucis de ce côté-là. Et n’en déplaise aux fantasmes de certains, les toilettes sont bien séparées.
Peut-on voyager avec des enfants ?
Au pays des grands enfants, il est bien entendu que vous pourrez voyager avec votre progéniture. J’ai moi-même fait ce voyage avec ma fille de douze ans et je peux vous garantir qu’elle n’a rien oublié.