Rome – Toutes mes astuces et conseils

Table des matières

Quel itinéraire ?

1er jour. – Arrivée à Venise en soirée – Cannaregio et le ghetto juif – Du Grand Canal à San Marco

2e jour. – Le long du Grand Canal – Piazza San Marco – Le palais des Doges – Pont des Soupirs – Quais de Schiavoni – Campanile San Marco – Basilique San Marco – Musée Correr – Procuratie – Chiesa Santo Stefano – Pont de l’Accademia – Santa Maria della Salute – Pointe della Dogana – Musée Guggenheim – Musée de l’Accademia.

3e jour. – Quartier San Polo – Scolla Grande di San Rocco – Pont et quartier du Rialto – San Marco – La lagune – Quartier du Castello – Tour en gondole.

4e jour. – San Giorgio Maggiore – Pont de l’Accademia – Quartier de la Salute – Dorseduro – Santa Croce.

Comment se rendre à Rome ?

Pour vous rendre à Rome, plusieurs options s’offrent à vous depuis la France. La voie aérienne est la plus rapide, avec des vols directs depuis Paris, Marseille ou Lyon vers l’aéroport de Rome Fiumicino, pour un trajet d’environ deux heures et des prix débutant à 80 euros aller-retour si vous réservez à l’avance.

Les trains internationaux constituent une alternative écologique, avec un trajet Paris-Rome en environ onze heures via les TGV et trains de nuit, pour un coût à partir de 100 euros en seconde classe. Cette option vous dépose directement en centre-ville à la gare de Termini.

Les bus longue distance, opérés par des compagnies comme FlixBus, relient Paris à Rome en environ dix-huit heures pour des tarifs très économiques débutant à 50 euros aller-retour, mais avec un confort limité sur cette durée.

Pour ceux qui préfèrent conduire, le trajet depuis Paris couvre environ 1 400 kilomètres et nécessite au moins deux jours de route en comptant les pauses, avec des péages autoroutiers avoisinant les 150 euros aller-retour et le coût du carburant.

Comment se déplacer à Rome ?

Se déplacer à Rome repose sur un système de transports en commun assez efficace bien que parfois bondé. Le métro comprend trois lignes (A, B, C) qui desservent les principaux points d’intérêt comme le Colisée, la basilique Saint-Pierre ou la gare Termini. Un billet simple à 1,50 euro est valable 100 minutes sur l’ensemble du réseau.

Les bus et tramways complètent la desserte, avec des lignes traversant le centre historique là où le métro est absent. Évitez les heures de pointe (8h-9h30 et 17h-19h) si possible. La Roma Pass (32 euros/48h) peut être avantageuse, incluant transports illimités et entrées à deux sites.

La marche reste le meilleur moyen de découvrir le centre-ville, les distances entre monuments étant souvent courtes. Pour les trajets plus longs, les taxis officiels (blancs avec numéro d’identification) appliquent des tarifs réglementés, avec environ 15 euros pour un trajet intra muros.

Le vélo en libre-service (Roma Bike) et les trottinettes électriques conviennent pour les déplacements ponctuels, mais la circulation romaine reste chaotique pour les cyclistes. Enfin, les trains régionaux (FL) sont utiles pour rejoindre Ostie Antique ou la campagne romaine.

Où garer son véhicule si on arrive à Rome en voiture ?

Se garer à Rome avec un véhicule nécessite une stratégie anticipée, le stationnement étant notoirement difficile dans le centre historique. Les parkings souterrains payants (parcheggi) près des sites majeurs comme celui du Vatican ou du Colisée coûtent 30-40 € par jour, mais évitent les risques de vol.

Les zones à trafic limité (ZTL) couvrent la majeure partie du centre-ville : y pénétrer sans autorisation entraîne des amendes de 80 à 300 € envoyées par courrier. Utilisez les parkings relais en périphérie comme Parcheggio Borghese (15 €/jour) et prenez le métro (ligne A) pour rejoindre le centre.

Le stationnement gratuit existe dans certains quartiers résidentiels comme Prati ou Monte Mario, mais exige de marcher 20-25 minutes vers les attractions. Les places en zone bleue (strisce blu) sont payantes de 8h à 20h (1-2 €/h via appli Easy Park).

Pour un séjour prolongé, les hôtels avec parking facturent 25-50 €/nuit. Évitez absolument les stationnements sauvages : les fourrières (carro attrezzi) interviennent rapidement, avec des frais de 200 € minimum pour récupérer son véhicule.

Une alternative est de laisser sa voiture dans des villes comme Bracciano (train régional jusqu’à Rome pour 3 €) ou sur l’aire de service Aurelia (navette bus 5 €).

Comment se déplacer en bus et en métro à Rome ?

Se déplacer en bus et en métro à Rome s’organise autour d’un système intégré géré par ATAC. Un ticket unique coûte 1,50 euro et reste valable cent minutes, permettant des correspondances illimitées entre bus et métro dans la limite de ce délai. Pour des déplacements fréquents, le pass journalier à sept euros représente une option plus économique.

Le métro romain comporte trois lignes principales. La ligne A relie des quartiers comme Battistini aux sites majeurs que sont le Vatican et la gare Termini. La ligne B dessert des points stratégiques incluant le Colisée et la basilique Saint-Paul-hors-les-Murs. La ligne C, encore incomplète, connecte progressivement la banlieue est au centre-ville.

Les bus complètent le réseau avec des lignes essentielles comme le 40 Express, version accélérée du 64, qui relie la gare Termini au Vatican en évitant partiellement les embouteillages. Le bus 116 traverse quant à lui le centre historique piétonnier où le métro ne circule pas. La fréquence théorique est indiquée aux arrêts, mais les retards restent courants en journée.

Il est conseillé d’éviter les heures de pointe entre 7h30 et 9h30 puis 17h à 19h, périodes où les transports atteignent des niveaux de saturation importants. L’achat des billets s’effectue dans les tabacs signalés par une enseigne bleue “T”, les kiosques ou via l’application MyCicero. Des contrôles inopinés dans les transports peuvent entraîner des amendes de cinquante-quatre euros en l’absence de titre valide.

Pour les visiteurs séjournant plusieurs jours, les passes Roma 48h à 12,50 euros ou Roma 72h à 18 euros offrent une liberté de mouvement intéressante. Le réseau nocturne fonctionne avec des bus notturno aux fréquences réduites. Les tramways, comme la ligne 8 menant à Trastevere, viennent compléter l’offre de transport.

Quelle est la principale ligne touristique à Rome ?

La principale ligne touristique à Rome est la ligne de métro B (bleue), qui traverse la ville du nord-est au sud-ouest en desservant les sites antiques les plus emblemátiques. Elle permet d’accéder directement à la station Colosseo pour le Colisée et le Forum Romain, à Circo Massimo pour le Circus Maximus et les thermes de Caracalla, et à Piramide pour le cimetière protestant et le quartier d’Ostiense.

Cette ligne croise la ligne A (orange) à la station Termini, hub central permettant de rejoindre la basilique Saint-Pierre (station Ottaviano) ou la Piazza di Spagna (station Spagna). La particularité de la ligne B réside dans son tracé qui suit littéralement l’ancienne Via Appia, avec des vues archéologiques depuis les fenêtres du métro entre les stations Colosseo et Circo Massimo.

Bien que pratique, elle est aussi la plus saturée aux heures de pointe. Pour une expérience plus sereine, utilisez-la tôt le matin ou en début d’après-midi, et combinez-la avec les bus 75 et 118 qui parcourent des axes parallèles moins bondés. Un billet unique à 1,50€ vous permet d’emprunter indifféremment métro et bus pendant 100 minutes.

Comment faire un tour de calèche et à quel prix ?

À Rome, les tours en calèche (carrozzella) se concentrent autour des sites emblématiques comme la Piazza di Spagna, le Colisée et la Piazza Navona. Les tarifs sont rarement affichés et la négociation est cruciale avant de monter.

Un tour standard de 30 minutes pour 4-5 personnes coûte généralement 50-80 €, mais peut atteindre 120 € autour du Vatican ou de la Fontaine de Trevi. Les conducteurs facturent souvent des suppléments pour les commentaires historiques ou les arrêts photo.

Pour éviter les surfacturations, exigez le prix total et la durée exacte avant le départ. Les tours officiels doivent afficher une licence, mais nombreux sont ceux qui opèrent sans autorisation. Méfiez-vous des itinéraires “spéciaux” qui allongent artificiellement la durée.

Une alternative plus authentique existe dans le parc de la Villa Borghese où des promenades plus courtes (15-20 min) sont proposées pour 25-40 €. Évitez les calèches stationnées près des sites ultra-touristiques après 18h, où les tarifs deviennent exorbitants.

Pour un souvenir mémorable sans mauvaises surprises, préférez les services réservables via votre hôtel ou des plateformes comme GetYourGuide, avec des tours fixes à 60 € pour 45 minutes incluant une couverture en cas de pluie.

Quel budget pour visiter Rome ?

Un voyage à Rome nécessite un budget variant selon votre style de voyage. Pour un séjour de 4 jours, comptez environ 100-150 € par jour et par personne pour un confort standard, incluant hébergement, nourriture, transports et visites.

L’hébergement représente le poste principal : une chambre double dans un hôtel 3 étoiles central coûte 120-180 € la nuit, tandis qu’un appartement ou une chambre Airbnb se situe entre 70-120 €. Les auberges de jeunesse offrent des lits à 25-45 € la nuit.

Pour la nourriture, un budget quotidien de 35-50 € couvre un petit-déjeuner en bar (5 €), un déjeuner dans une trattoria (15-20 €) et un dîner dans un restaurant correct (25-35 €). Les formules “aperitivo” (10-15 €) permettent de dîner léger à moindre coût.

Les transports cumulent billet d’avion (80-200 € A/R depuis Paris), transports sur place (billet journalier à 7 €) et navettes aéroport (14 €). Les visites culturelles pèsent lourd : le Colisée + Forum (16 €), les Musées du Vatican (21 €), la galerie Borghèse (réservation obligatoire, 15 €).

Prévoyez 50-80 € pour des activités supplémentaires (visites guidées, excursions à Ostie). Les extras comme les gelati (2-4 €), cafés (1-1,5 €) et souvenirs complètent le budget.

Au total, un séjour de 4 jours raisonnable coûte 400-600 € par personne hors shopping, pouvant descendre à 300 € en mode économique ou dépasser 800 € avec hébergement premium et restaurants gastronomiques.

Quel est le meilleur bon plan à Rome ?

Le meilleur bon plan à Rome consiste à profiter de la gratuité des musées publics le premier dimanche du mois. Cette initiative gouvernementale permet d’accéder sans réservation à des sites majeurs comme le Colisée, le Forum Romain, le Palatin, la Galerie Borghèse (nécessite quand même la réservation du droit de réservation de 2€) et les Musées du Capitole.

Autre astuce méconnue : les églises historiques renferment des chefs-d’œuvre gratuits. Santa Maria del Popolo abrite deux Caravage, San Luigi dei Francesi trois autres, et la basilique Saint-Pierre elle-même est libre d’accès.

Utilisez le Pass Roma 72h (18€) pour les transports illimités et deux sites gratuits, plus économique que les billets individuels. Pour manger, les tavole calde près des universités (comme La Sapienza) servent des plats complets pour 8-12€, et l’aperitivo entre 18h et 21h offre un buffet d’antipasti inclus avec votre consommation (10-15€).

Enfin, les fontaines d’eau potable (nasoni) permettent de remplir gratuitement sa gourde, et la vue panoramique depuis la terrasse du Vittoriano (ascenseur 10€) peut être remplacée par celle, gratuite, de la colline du Janicule.

Quelles sont les formalités pour voyager à Venise ?

L’Italie faisant partie de l’espace Schengen, pas besoin de passeport. Une carte d’identité suffira. Plus pour votre enregistrement à l’hôtel que pour votre passage à la frontière.

Parlons sécurité

À Rome, comme dans toute grande ville touristique, une vigilance ciblée permet d’éviter la majorité des désagréments. Les pickpockets opèrent principalement dans les métros (ligne A vers le Vatican), aux abords du Colisée et sur les marches de la Piazza di Spagna. Ils utilisent des techniques de distraction comme les faux questionnaires ou les “taches” soudaines.

Les conducteurs de scooters arrachent parfois sacs et téléphones près de la circulation. Gardez vos objets du côté opposé à la rue. Évitez les portefeuilles dans les poches arrière et préférez un sac en bandoulière porté vers l’avant.

Certains quartiers comme les alentours de la gare Termini la nuit, ou le Trastevere isolé après minuit, demandent une prudence accrue. Les faux taxis non licenciés stationnent parfois près des aéroports – vérifiez toujours le numéro de licence.

En cas d’urgence, composez le 112 (européen) ou le 113 (police italienne). Les carabiniers (police nationale) parlent généralement anglais dans les zones touristiques. Gardez une photocopie de votre passeport séparée de l’original.

Les arnaques courantes incluent les “bracelets d’amitié” forcés à la Fontaine de Trevi, les roses “offertes” puis réclamées avec insistance, ou les menus sans prix près de la Piazza Navona. Un “no, grazie” ferme suffit généralement.

Les femmes peuvent-elles voyager seules à Rome ?

Oui, les femmes peuvent tout à fait voyager seules à Rome, qui reste une destination relativement sûre avec des précautions de base. La ville est vivante jusqu’en soirée, notamment dans des quartiers centraux comme Trastevere, Monti ou Prati, où une foule bienveillante et une présence policière régulière créent un environnement rassurant.

Il est conseillé d’éviter les rues isolées et peu éclairées après 22h, en particulier aux abords de la gare Termini ou dans certaines parties du quartier d’Esquilino. Pour les déplacements nocturnes, privilégiez les taxis officiels (reconnaissables à leur couleur blanche et au numéro sur la portière) ou des applications comme Free Now, plutôt que les transports en commun après 23h.

Les tenues discrètes, adaptées au contexte (épaules et genoux couverts dans les églises), aident à éviter les regards ou remarques insistantes, plus fréquents dans les zones très touristiques comme les abords du Colisée ou de la Fontaine de Trevi. Gardez une copie de vos documents d’identité séparée de l’original.

En cas de besoin, le numéro d’urgence européen 112 fonctionne partout, et de nombreux agents de police touristique parlent anglais. Les commerçants et restaurateurs sont généralement accueillants et prêts à aider en cas de situation inconfortable.

Parlons argent, banque et change

Là aussi, rien de révolutionnaire. La lire s’est depuis longtemps évaporée, vous n’aurez besoin que de vos euros. Des distributeurs de monnaie sont partout présents dans le centre-ville. Pour les paiements, préférez si possible le paiement en liquide (les Italiens le privilégient aussi !). On n’est jamais trop prudent, les arnaques à a carte bancaire sont nombreuses dans la péninsule.

Quels sont les vaccins à faire pour voyager en Italie ?

Aucun vaccin n’est obligatoire pour pénétrer en Italie. Toutefois, veillez à être à jour de vos rappels, ça peut toujours servir. Surtout si comme moi, un jour, vous vous plantez un clou rouillé dans une zone de baignade au large de Syracuse. La septicémie est si vite arrivée…

Quelle est la meilleure saison pour partir à Rome ?

La meilleure saison pour visiter Rome s’étend d’avril à juin et de septembre à octobre. Ces périodes évitent la chaleur écrasante de l’été et les foules massives de juillet-août, tout en offrant des températures agréables comprises entre 18°C et 26°C.

Le printemps (avril-juin) révèle la ville en fleurs avec des journées ensoleillées idéales pour explorer les sites archéologiques ou déjeuner en terrasse. C’est également la saison des artichauts à la romaine (carciofi) sur les marchés.

L’automne (septembre-octobre) propose une lumière dorée magnifique pour la photographie et des vendanges dans la campagne romaine. Les températures restent douces jusqu’à mi-octobre, permettant de profiter des jardins de la Villa Borghese sans la saturation estivale.

L’été (juillet-août) peut être difficile avec des pics à 35°C et des files d’attente interminables devant le Colisée ou les Musées du Vatican. Si vous voyagez à cette période, privilégiez les réservations coupe-file et les visites tôt le matin.

L’hiver (novembre-février) offre l’avantage de prix d’hébergement plus bas et de sites accessibles sans attente, mais certains jours peuvent être pluvieux. Noël et le Nouvel An apportent une ambiance festive avec des marchés et des décorations.

Durée de vol et décalage horaire

Pas de panique, il n’y a pas de décalage horaire entre la France et l’Italie

Que mettre dans la valise pour partir à Rome ?

Pour un séjour à Rome, privilégiez une valise pratique et légère, adaptée aux saisons et aux impératifs de marche. Emportez des chaussures de marche confortables et déjà ajustées, indispensables pour affronter les pavés inégaux du centre historique et les longues files d’attente. Prévoyez une tenue modeste pour les églises et basiliques, avec des épaules et genoux couverts – un châle léger ou un cardigan suffit pour les entrées.

La météo dicte le reste : en été, des vêtements légers en lin ou coton, un chapeau et des lunettes de soleil pour affronter la chaleur, ainsi qu’une bouteille d’eau réutilisable à remplir aux fontaines (nasoni). En hiver, un manteau imperméable, une écharpe et des layers superposables suffisent, les températures restant généralement douces. Au printemps et en automne, un coupe-vent et un parapluie pliable sont utiles pour les averses soudaines.

N’oubliez pas un adaptateur universel pour les prises électriques, une batterie externe pour recharger téléphone et appareil photo, et une trousse de premiers soins avec des pansements pour les ampoules. Enfin, laissez de l’espace pour rapporter des spécialités locales – huile d’olive, pâtes artisanales ou un souvenir des boutiques historiques.

Combien coûte le pourboire ?

Dans les restos, le pourboire est normalement à la discrétion du client, comme en France.

Ne vous étonnez pas de voir votre addition majorée du traditionnel coperto (couvert ; appliqué dans la majorité des restos). Il varie entre 2 et 3 €, et peut même atteindre plus de 4 € dans les lieux chics (mais cela signifie qu’il y a une contrepartie : pains maison, beurre aromatisé…). A cela, il faudra aussi ajouter la traditionnelle eau minérale… Y compris facturée ! A ce train-là, vous comprendrez pourquoi il vaut mieux préférer un petit appartement où vous pourrez préparer vos repas et rapidement amortir le prix plus élevé.

Quels souvenir acheter à Venise ?

  • Le premier des cadeaux à ramener : un masque bien sûr. Vous en trouverez partout, de toutes les formes, de toutes les couleurs, avec plumes ou sans plumes. Avec leur forme spécifique et leurs couleurs chatoyantes, les masques vénitiens sont sans nul doute le cadeau par excellence à rapporter de Venise. Ces accessoires, traditionnellement fabriqués en papier mâché, symbolisent avant tout la tradition du Carnaval de Venise. De nombreux magasins proposent des masques vénitiens, mais il est essentiel d’être attentif à la qualité du produit. Pour cela, rien de mieux que de visiter un atelier d’artisan qui pourra vous expliquer comment les masques sont confectionnés avec soin et passion. Parmi les plus célèbres, on peut citer Ca’ Macana, située dans le quartier Dorsoduro, ou encore La Bottega dei Mascareri, dans le quartier San Polo. 
  • Des objets en verre de Murano. Incontournable ! Bijoux, sculptures, luminaires… Chacun pourra y trouver son bonheur selon ses goûts et son budget. Bijoux, bracelets, boucles d’oreille, mais aussi carafes, verres, presse-papier, vous n’aurez que l’embarras du choix.
  • La dentelle de Burano : elle peut être utilisée pour confectionner divers articles. Nappes et serviettes de table, rideaux, étoles et foulards… Là aussi, le choix est vaste.
  • A ramener également : des pâtes, des baicoli (le fameux biscuit vénitien, à déguster avec le café), une cape vénitienne (parfaite pour aller avec les masques), une peinture sur toile, dans une boutique sur le pont du Rialto.

Peut-on boire de l'eau du robinet ?

Oui, sans aucun problème.

Les prises électriques sont-elles les mêmes en Italie ?

Les prises sont identiques à celles que nous utilisons. Comme il y a rarement plusieurs prises dans une chambre, il est utile d’emporter une multiprise.

Quelle langue parler en Italie ?

L’italien bien sûr ! Mais bon, j’en conviens, tout le monde ne parle pas italien. Mais si vous tendez bien l’oreille, vous parviendrez facilement à comprendre ce que l’on vous dit. Et si vous commencez à parler avec vos mains, alors vous serez déjà à moitié italien !

Plus  sérieusement, vous serez surpris par le nombre d’Italiens qui parlent la langue de Molière. Quant à l’anglais, vous en trouverez également, surtout chez le plus jeunes.

Comment puis-je utiliser mon téléphone en Italie ?

Lorsque vous voyagez de votre pays d’origine vers un autre pays de l’UEvous ne devez pas payer de frais supplémentaires pour utiliser votre téléphone portable. C’est ce qu’on appelle l’«itinérance» ou l’«itinérance aux tarifs nationaux». Vos appels (vers des téléphones fixes et portables), messages textuels (SMS) et services de données (navigation web, téléchargement de musique et de vidéo, etc.) sont facturés aux tarifs nationaux, c’est-à-dire aux mêmes prix que les appels, SMS et données au sein de votre pays d’origine.

La même règle s’applique aux appels ou SMS que vous recevez à l’étranger: aucun frais supplémentaire ne vous est facturé pour recevoir des appels ou des SMS en itinérance, même si la personne qui vous appelle passe par un autre fournisseur de services.

Et les toilettes, c'est comment ?

Franchement, aucun problème de ce côté-là. C’est comme en France. Voire peut-être mieux.

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