Pourquoi visiter New York ?
Se rendre à New York depuis Paris en avion est très accessible, avec de nombreuses options de vols directs ou avec escale, à des prix variés. Pour économiser, privilégiez les voyages en basse saison (février), réservez à l’avance, et soyez flexible sur les dates et les aéroports. N’oubliez pas de vous occuper de l’ESTA avant le départ.
Pourquoi choisir New York comme destination ?
New York est une ville mythique qui attire des millions de visiteurs chaque année. Elle offre une expérience unique avec ses monuments emblématiques comme la Statue de la Liberté, Central Park, l’Empire State Building, et ses quartiers vibrants tels que Manhattan et Broadway. La ville propose également une scène culturelle riche avec des musées de renom, des comédies musicales à Broadway, et une gastronomie diversifiée. De plus, New York est une destination shopping de premier plan, avec la Cinquième Avenue et Macy’s .
Compagnies aériennes desservant la liaison
Plusieurs compagnies aériennes proposent des vols entre Paris et New York, offrant une variété de choix en termes de prix, de confort et de services. Les compagnies suivantes assurent des liaisons régulières :
· Air France : propose des vols directs depuis Paris-Charles de Gaulle (CDG) vers les aéroports de New York (JFK et Newark). Avantages : service de qualité, champagne gratuit en classe économique, et plusieurs vols par jour.
· Delta Air Lines : partenaire d’Air France, dessert également New York depuis CDG.
· United Airlines : vols directs depuis CDG vers Newark.
· American Airlines : dessert New York depuis CDG.
· Compagnies low-cost : French Bee (vols directs depuis Paris-Orly vers Newark), Norse Atlantic Airways (vols directs depuis CDG vers JFK), et Level (vols avec escale).
Aéroports de départ et d’arrivée
· Départ depuis Paris : les vols partent principalement de Paris-Charles de Gaulle (CDG) et Paris-Orly (ORY). CDG est le plus grand aéroport et offre le plus de liaisons directes, tandis qu’Orly propose parfois des tarifs plus attractifs avec des compagnies low-cost.
· Arrivée à New York : New York dispose de trois principaux aéroports :
· John F. Kennedy (JFK) : Le plus fréquenté, bien desservi par les transports en commun (AirTrain et métro).
· Newark Liberty (EWR) : Souvent le moins cher, avec de bonnes connexions vers Manhattan via train ou bus.
· LaGuardia (LGA) : Plus proche de Manhattan, mais sans accès direct au métro ; desservi par des bus ou navettes.
Vols directs vs. vols avec escale
· Vols directs : la durée est d’environ 8 heures. Ils sont plus pratiques mais généralement plus chers. Compagnies proposant des vols directs : Air France, Delta, United, American Airlines, French Bee, et Norse Atlantic Airways.
· Vols avec escale : peuvent être moins chers (jusqu’à 40% d’économie), mais le temps de trajet est allongé. Les escales populaires incluent Reykjavik (KEF), Londres (LHR), ou Amsterdam (AMS).
Comment visiter New York ?
Fourchette de prix
Les prix varient considérablement en fonction de la saison, de la compagnie, et du moment de la réservation. Voici une estimation des tarifs :
– Vol direct : 350 – 700 €. Norse Atlantic (à partir de 330€). Air France (à partir de 440€).
– Vol avec escale : 250 – 500 €. French Bee (à partir de 366€). Iberia, Scandinavian Airlines (à partir de 354€).
– Aller simple : 150 – 300 €. French Bee, Norse Atlantic Iberia, Vueling (à partir de 234€).
Meilleure période pour économiser
· Saison basse (janvier à mars) : les prix sont les plus bas, avec des vols aller-retour autour de 250€ à 400€. Février est le mois le moins cher.
· Saison moyenne (avril-mai et septembre-novembre) : prix modérés entre 300€ et 500€.
· Saison haute (juin-août et décembre) : prix élevés, entre 500€ et 800€.
Conseils pour trouver des billets pas chers
· Réserver à l’avance : idéalement 8 à 10 semaines avant le départ pour la haute saison, et 4 à 6 semaines pour la basse saison.
· Jours moins chers : partir un jeudi ou un vendredi pour l’aller, et revenir un mercredi ou un jeudi.
· Flexibilité : utiliser des outils de recherche avec dates flexibles pour économiser jusqu’à 30% .
· Comparer les aéroports : Newark (EWR) est souvent moins cher que JFK .
· Surveiller les promotions : les compagnies low-cost comme French Bee et Norse Atlantic proposent régulièrement des offres promotionnelles.
Formalités administratives et pratiques :
· Passeport : doit être biométrique ou électronique, valide pour toute la durée du séjour.
· ESTA (Electronic System for Travel Authorization) : requis pour les séjours de moins de 90 jours sans visa. À demander en ligne au moins 72 heures avant le départ. Coût : 21 USD.
Transport depuis l’aéroport :
· Depuis JFK : AirTrain + métro (8,25$), taxi (environ 100$), ou bus express (16-19$).
· Depuis Newark : train NJ Transit (13$), bus express (16-18$), ou taxi (50-70$).
· Depuis LaGuardia : bus M60 ou Q70, ou navette Go Airlink NYC vers Grand Central.
Envol pour les Etats-Unis, bienvenue à New York !
Mardi 8 avril. Troisième séjour aux États-Unis… Allez go, on ne se refuse rien ! Direction Big Apple, New York City, la ville où bat le cœur du monde ! ô mon Dieu, comment je me la joue, là ! Bon, ok, on redescend sur terre, on rembobine le fil de l’histoire et on se retrouve tout bêtement sur le quai d’une gare…
Montargis City. Bon oui, ça le fait moins, c’est vrai, mais pour ce périple chez nos cousins d’Amérique, je retrouve encore une fois, ma méga super-pote de voyage, the best one in the world… Introduce for the second time : Mrs Aurélie R…. ! Yes ! Bon, tout cela vaut bien de belles photos-souvenirs… Si, si ! Même sur le quai d’une gare mondialement connue pour… Euhhhh… Pas grave, j’ai oublié pourquoi, mais j’y reviendrai plus tard… Si, si… Promis !
Bref, en attendant, on profite de ce court trajet vers Roissy pour établir les règles de base du voyage… Paraît que je suis insupportable en voyage, patati, patata, bon du coup la règle du « temps mort, tu m’emmerdes, fous-moi la paix, je veux me ressourcer » est instaurée… Et ça marche… Enfin, pas à tous les coups, mais comme on le verra plus tard, plutôt assez souvent ou pas ! Bon, ok, j’abrège.




À la descente du train, premier contact avec un personnage central de notre périple… Radoslav Popov, gentleman-driver du Cab qui nous attend à la sortie de la gare de Bercy. Mec carré, allure de play-boy façon « russo-James Bonf friend », bon bref, le type est sympa comme tout et nous présente aussitôt le clou du voyage, la star incontestable du Cab : la méga-super tablette numérique raccordée directement aux enceintes de la berline de luxe ! « Bienvenue R… Aurélie. ». La classe.

Oui, effectivement, on nage en plein film d’espionnage. Si ça se trouve, Radoslav est un agent infiltré du KGB. Et Aurélie a l’air bizarre… Me demande bien si ma James Bond girl ne serait pas de mèche avec Radoslav Popov… Bizarre, bizarre… D’autant que le type nous raconte sa life et ses voyages aux USA… Bref, pas très clair, Radoslav… Mais sympa comme tout.
Bon, ok, j’arrête tout de suite le délire et je passe à l’étape suivante : Confort Hôtel au Ménil-Amelot 2 – le retour ! Le même qu’au premier jour du départ pour le Brésil. Bon allez zou, bonne nuit et à demain matin, bon pied bon œil sur le tarmac de Roissy !

Mercredi 9 avril. 6 heures du matin, gueule en vrac, paraît qu’il faut se lever tôt pour ne pas manquer le vol vers New York… « Ouiais, tu sais, mon p’tit Jean-Louis, j’en connais un qui a manqué son vol pour la Thaïlande, et tu vois quoi… Patati patata… » Bon, ok, Aurélie…
Debout à l’heure. La navette pour Roissy nous attend à la sortie de l’hôtel. Terminal 1, ça aussi, une grande première, du coup il faut prendre le Roissyval pour arriver à bon port. Bonjour l’organisation.
6 h 45, on est pile-poil à l’heure. Euhhhhhhhhh… Trois heures avant l’embarquement… Merci Aurélie ! No soucis, pas grand monde dans la queue de la United Airlines. Une contrôleuse s’approche de nous et nous fait le baratin habituel, made in USA. « Non, nous n’avons toujours pas embarqué d’armes à feu avec nous, et non, nous ne sommes toujours pas des terroristes qui souhaitent attenter à la sûreté de l’État américain ! » Ok, on passe le contrôle sans problème, on chope nos billets et on laisse nos bagages. Direction la salle d’embarquement.
Petit-déjeuner rapide avant de grimper dans l’avion. Deux heures plus tard, nous voici confortablement installés à l’arrière du Bœing qui nous transporte de l’autre côté de l’Atlantique. Elle est pas belle, la vie !
Décollage, angoisse habituelle, puis petit roupillon tranquille pour récupérer de cette nuit trop courte. Chouette alors ! Pour une fois, j’arrive à m’endormir, du coup je n’enchaîne pas trop les films et suis plutôt en forme à l’arrivée à Newark.
La vue de la Grosse Pomme depuis le hublot 767 est plutôt sympa. L’Hudson River brille sous l’éclat du soleil. Les cuves de pétrole rassemblées aux portes de la ville aussi. Les premières maisons de banlieue apparaissent. Les lacets d’autoroute s’entremêlent et se démêlent sous nos yeux…
« Hey, Aurélie, j’crois bien qu’on est en Amérique ! » Dommage simplement qu’on n’arrive pas de l’autre côté pour apercevoir la Statue de la liberté et la Sky Line de Manhattan. Ça sera pour plus tard. Mais quelle claque, quand même !




Cool… La première vision de New York derrière la vitre du terminal est carrément géniale. Notre avion de la United découpé dans le ciel bleu, et au loin la Sky Line hérissée des tours de verre de Manhattan. « Aurélie ! Une petite photo, stp ? » Super, c’est dans la boîte.
Pas le temps de se réjouir. Nos amis de la police des frontières nous attendent à la sortie du hall. Et c’est reparti, mon kiki ! Une bonne heure d’attente avant de se pointer devant la bobine de Johnny be Good, ami des gentils et premier rempart contre l’invasion terroriste au pays de Oui-oui.
Cool, cette fois-ci, l’ami Johnny est plutôt sympa et nous décoche même un sourire. « Non, nous ne sommes pas mariés, juste des collègues de bureau, oui, ça peut paraître bizarre comme ça, de prime abord, mais c’est comme ça… Ok ? »
Allez zou, dix minutes plus tard, et une tonne d’empreintes digitales collectées, on file chercher nos bagages. Reste plus qu’à trouver le bus qui doit nous embarquer à la sortie de l’aéroport et nous pourrons dire bonjour à New York.
Depuis Newark, pas de soucis particuliers. Il faut juste trouver le comptoir de la compagnie Greyhound et nous y sommes. Une trentaine de dollars l’aller-retour (« comme ça, je serai sûr de repartir, Aurélie ! »), et nous voilà dans le bus… Good moooooooooorning New York !



