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Metropolitan Museum, un musée incontournable à New York

Pourquoi visiter le Metropolitan Museum ?

Le Metropolitan Museum of Art (MET) de New York  est l’un des musées les plus emblématiques au monde. Le MET est bien plus qu’un musée : c’est une immersion dans l’histoire mondiale de l’art et une expérience culturelle incontournable. Que vous soyez passionné d’art ou simple visiteur, une journée au MET reste un moment inoubliable lors d’un séjour à New York. Pour profiter au mieux de votre visite, planifiez à l’avance et concentrez-vous sur les départements qui vous intéressent le plus !

Collections exceptionnelles :

Le MET abrite plus de 2 millions d’œuvres couvrant 5 000 ans d’histoire, de l’Égypte antique à l’art contemporain. Ses départements incluent l’art africain, océanien, asiatique, égyptien, européen, et bien d’autres.

Architecture et lieux iconiques :

Le bâtiment principal sur la Cinquième Avenue est imposant et vaut à lui seul le détour.
· Le Temple de Dendur (art égyptien) est une pièce maîtresse présentée dans une aile spéciale.
· The Cloisters (dans le Fort Tryon Park) est dédié à l’art médiéval et offre une expérience unique.

Diversité des expositions :

Le MET propose des expositions temporaires et des événements culturels tout au long de l’année, comme des défilés du Costume Institute .
4. Vue imprenable sur Central Park : La terrasse du Cantor Roof Garden Bar (ouverte de mai à octobre) offre une vue panoramique sur Central Park et les gratte-ciel de Manhattan.

Accessibilité et éducation :

Le MET vise à rendre l’art accessible à tous, avec des programmes éducatifs, des visites guidées gratuites (y compris en français selon les disponibilités), et des ressources en ligne.

Points forts à ne pas manquer :

· Le Temple de Dendur (art égyptien).
· La collection d’armures et d’armes.
· Les peintures européennes (Van Gogh, Monet, Rembrandt, etc.).
· Les period rooms de l’American Wing.
· La terrasse du Cantor Roof Garden Bar (si ouverte) .

Comment visiter le Metropolitan Museum ?

Horaires :

· Dimanche, lundi, mardi et jeudi : 10h–17h.
· Vendredi et samedi : 10h–21h.
· Fermé le mercredi, ainsi que le jour de Thanksgiving, le 25 décembre, le 1er janvier et le premier lundi de mai.

Tickets :

· Adultes : 30 $.
· Seniors (65+) : 22 $.
· Étudiants : 17 $.
· Enfants (moins de 12 ans) : gratuit.

Accès et transport :

· Adresse : 1000 Fifth Avenue, à l’angle de la 82nd Street.
· Métro : Lignes 4, 5 ou 6 jusqu’à la station 86th Street, puis marcher 10 minutes vers l’ouest.
· Bus : M1, M2, M3, M4 le long de la Fifth Avenue ou de Madison Avenue.
· En voiture : un parking est disponible au musée (entrée à la 80th Street), mais des applications comme “Best Parking” peuvent aider à trouver des options moins chères.

Conseils pour la visite :

· Éviter la foule : le MET est très fréquenté. Pour une visite plus calme, privilégiez les jours en semaine ou les vendredis et samedis soirs (ouvert jusqu’à 21h).

Visites guidées :

Des visites en français sont parfois proposées à 11h15. Renseignez-vous à l’accueil .
· Services sur place :
· Plusieurs options de restauration : du café casual (The Eatery) au restaurant gastronomique (The Met Dining Room).
· Une boutique de souvenirs avec des articles inspirés des collections.

Bonus :

· Billet combiné : un billet pour le MET donne également accès à The Cloisters le même jour .
· Programmes spéciaux : Bank of America offre l’entrée gratuite le premier week-end de chaque mois via le programme “Museums on Us” (sur présentation d’une carte de crédit/débit de la banque).

Metropolitan Museum, un musée incontournable à New York

Samedi 12 avril. Après Broadway et Chicago, retour à Times Square pour manger un hot-dog et des chips au milieu de la foule. Ici, on est bien au cœur de la Grosse Pomme, ça fourmille de partout ! Des figurants arpentent jour et nuit les trottoirs. Les super-héros de Marvel côtoient les stars des dessins animés. Il y a même une cow-girl qui gratte deux accords de guitare avant de pousser un cri de bête !
Attablé en plein milieu de Times Square, on assiste au spectacle. « Tu vois, ma p’tite Aurélie, si tu ne sais pas quoi faire et que tu ne veux pas rentrer en France… » Mais le meilleur reste à venir. ça fait au moins un bon quart d’heure que j’ai repéré « l’homme – statue de la liberté » qui se fait prendre en photo avec les touristes de passage.
Pas possible que je passe à côté de mon destin ! Allez zou, on avale notre hot-dog moutarde et je file droit vers mon pote ! « Do you speak english ? » « Yes, a little bit » « Ok, five dollars, please… » Je me disais bien aussi que ça puait l’arnaque à plein nez, mais combien ne donnerai-je pas pour avoir ma frimousse à côté de mon pote américain ? Bingo, je refile mon billet de cinq à Billy, et je me retrouve aussitôt avec la couronne verte sur la tête et le flambeau de la liberté dans la main gauche ! La belle vie tient à peu de chose en fait !
Bon, ok, je redonne les instruments à Billy, puis on marche un peu à travers Times Square. Une danseuse brésilienne affole les passants. Plus loin, Spiderman et Batman tapent la causette, tandis que Mickey et Minny remontent l’avenue. Non, mais on est où, là !
« Tu sais quoi, ma p’tite Aurélie, je ne sais pas si je te l’ai déjà dit, mais c’est ici, là tu vois, juste sous tes yeux, c’est ici que bat véritablement le cœur de Ney York ! » « Oui, mon p’tit Jean-Louis, tu me l’as déjà dit… » Bon, ok, on dégage et on file au Metropolitan Museum.

Bref, il est déjà tard quand on arrive aux pieds des grilles du Metropolitan Museum. Avec ses 68.000 m² de galeries, ses deux millions de pièces de collection, ses temples égyptiens et ses tableaux de maître, le MET est au final l’attraction touristique numéro un de New York. Comme quoi, la culture !
Nous avons moins de deux heures pour visiter l’essentiel du musée… Autant dire qu’on s’y prend comme des manches ! C’est comme si on voulait visiter le Louvre en trois heures : impossible ! Ok, il va donc falloir faire des choix. Et choisir, c’est forcément éliminer !
Pas le temps pour l’art des pays arabes ou pour l’aile américaine : ce sera pour une autre fois. Trois cibles principales au programme : l’art égyptien bien sûr avec en guest star le fameux temple de Dendour offert par l’Égypte aux États-Unis lors du sauvetage des grands temples de la vallée du Nil au moment de la construction du grand barrage d’Assouan ; l’art grec et romain et son exceptionnelle cour des sculptures romaines ; les peintures européennes enfin avec quelque 1.700 toiles de maître dont Murillo, Rembrandt, Velasquez, Raphaël… et quatre peintures de Vermeer qui reste mon peintre préféré.
Deux heures de pur bonheur (euhhh, peut-être pas pour Aurélie qui ne raffole pas tant que ça des musées… Mais bon, tout se passe bien, je n’en fais pas des tonnes à chaque toile !).

Les statues romaines et grecques s’enchaînent. Bustes et bas-reliefs glissent doucement dans la lumière.

On a même droit à quelques très beaux exemplaires d’œuvres précolombiennes d’Amérique du Nord et centrale. Une grande nouveauté pour moi. J’adore !

Après quoi, direction les œuvres romanes du vieux continent, sculptures et vitraux de toute beauté. Quelque chose me dit que les Américains nous ont allègrement pillé quelques églises.

Et des châteaux aussi, à voir la superbe collection d’armures entreposées dans plusieurs salles du musée.

Enfin, on passe à la galerie égyptienne. Une tuerie. Une collection moins importante que celle du Louvre ou de Turin, mais sans doute équivalente à celle de Londres. 39 galeries au total ! En plus du fameux temple de Dendour, il ne faut absolument pas manquer le mastaba de Perneb, un tombeau en roche calcaire datant de l’Ancien Empire (2.300 av. J.-C.). Autour de lui, c’est tout un réseau de stèles funéraires, de reliefs sculptés, de fragments de pyramide et de tombeaux de nobles. Wouah !

Dernière étape de cette visite éclair : les galeries consacrées à la peinture européenne. Et en priorité, celles consacrées aux maîtres de la Renaissance et aux grands peintres flamands. Les chefs-d’œuvre se succèdent. Alors, c’est carrément un festival, notamment avec les peintres flamands, Rembrandt et Bosh…

Et puis enfin, le maître : Vermeer. Et là arrive le drame ! Après quinze bonnes minutes avant de trouver la bonne galerie, me voilà enfin devant les cinq toiles que je rêvais d’admirer… Je dégaine mon Nikon, prêt à mitrailler les œuvres quand soudain, un des gardiens du musée se place devant moi : « It’s to late. Museum closed ! »
Merde ! J’essaie de parlementer, de biaiser, d’expliquer à Johnny que j’ai traversé un océan pour voir ces cinq toiles, mais il ne veut rien savoir. Ma plus grande déception de ce voyage new yorkais. Rien que pour ça, je reviendrai !

Après cette douche froide (ce ne sera pas la dernière…), de retour à Times Square. Petit coup d’oeil sur la police montée qui veille au grain sur l’artère la plus fréquentée de New York. On peut même caresser le chanfrein des chevaux. Cool !

Encore un petit tour sur Times Square, histoire de lécher les vitrines, de loucher sur la sortie des théâtres et des comédies musicales et de faire un peu de shopping, puis on va dans les entrailles du Hard Rock Café. Passage obligé, of course. Collection monumentale de guitares et de disques d’or. Wouah !

Bon, ce n’est pas tout ça, mais la vie de star, ça creuse ! À défaut de trouver Carmine, on se rabat sur une pizzeria du coin… So delicous !

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