Pourquoi aller voir un match de NBA à New York ?
Si vous rêvez d’assister à un match de NBA à New York, vous vous apprêtez à vivre une expérience emblématique au cœur de la culture sportive américaine. La ville qui ne dort jamais accueille deux franchises NBA : les New York Knicks au Madison Square Garden et les Brooklyn Nets au Barclays Center. Aller voir un match de NBA à New York est bien plus qu’une simple sortie sportive : c’est un pèlerinage au cœur de la mythologie du basketball. Que vous choisissiez l’histoire des Knicks au Madison Square Garden ou l’énergie moderne des Nets au Barclays Center, vous êtes garanti de repartir avec des étoiles plein les yeux et des souvenirs impérissables.
Une expérience culturelle et sportive unique :
New York est l’une des places fortes du basketball mondial. Assister à un match dans une atmosphère électrique, entouré de fans passionnés, est bien plus qu’un événement sportif : c’est un spectacle à part entière, mêlant sport, entertainment et frisson. Le Madison Square Garden, surnommé “The World’s Most Famous Arena”, est une légende en soi. C’est la plus ancienne arène de la NBA encore en activité et la seule à ne pas porter le nom d’un sponsor corporatif. Les Nets, installés dans le moderne Barclays Center à Brooklyn, offrent une ambiance plus contemporaine mais tout aussi intense.
Voir des stars de haut niveau :
Les Knicks, fondés en 1946 et seule franchise NBA encore située dans sa ville d’origine avec les Celtics, alignent des joueurs de calibre All-Star comme Jalen Brunson et Karl-Anthony Towns. Même si les Nets sont en phase de reconstruction, des talents comme Cam Thomas valent le détour, et les matchs contre d’anciennes gloires (comme le retour de Kevin Durant le 1er janvier 2026) sont toujours très attendus.
L’énergie incomparable de New York :
Un match à New York, que ce soit à Manhattan ou à Brooklyn, s’inscrit dans le décor vibrant de la ville. Combiné à une visite des hauts lieux new-yorkais, cela devient un souvenir mémorable d’un voyage dans la Grosse Pomme.
Comment aller voir un match de NBA à New York ?
Comment choisir son match et son équipe ?
– New York Knicks : Madison Square Garden (Manhattan). L’arène est historique, les fans sont passionnés et l’expérience est purement “New York”. Matchs souvent très demandés, surtout contre des rivaux (Celtics, Heat). Les billets sont généralement plus chers.
– Brooklyn Nets Barclays Center (Brooklyn) : Plus moderne et décontractée. Ambiance cool et jeune, typique de Brooklyn. Billets souvent plus abordables, surtout contre des adversaires moins attractifs. Parfait pour un budget serré.
Quel match choisir ?
· Pour l’ambiance : un classique (Knicks vs Celtics, Knicks vs Heat) ou un “Derby de New York” (Knicks vs Nets.
· Pour le budget : un match en semaine contre une équipe moins médiatique.
· Pour le spectacle : un match de fête (Noël, jour de l’An, MLK Day) où l’ambiance est garantie.
Comment acheter ses billets ?
1. Acheter à l’avance sur des plateformes officielles
C’est la méthode la plus sûre. Il est recommandé d’acheter plusieurs mois à l’avance pour avoir le meilleur choix et les meilleurs prix, surtout pour les Knicks.
· Plateformes officielles : Ticketmaster (partenaire officiel de la NBA et des Knicks) ou HelloTickets.
Prix moyens :
· Knicks : à partir de $50 (haut gradin, match faible affluence) jusqu’à plus de $1000 pour les meilleures places. Prix moyen autour de $160.
· Nets : souvent légèrement moins chers, avec une moyenne autour de $185.
– Éviter les arnaques
N’achetez jamais de billets dans la rue, ils sont souvent faux.
– Pour économiser, privilégiez les matchs en semaine, contre des adversaires moins populaires, et optez pour des places en coin ou derrière le panier, qui offrent un meilleur rapport qualité-prix que les places latérales.
Au Barclays Center pour supporter les Nets
Dimanche 13 avril. Dernière grande étape de cette journée dominicale : un match de NBA au Barclays Center opposant les Brooklyn Nets aux Orlando Magics. Le bonheur, quoi.
Coup de bol inouï : on grimpe à bord du premier métro venu et on tombe sur le rapide qui nous descend direct au Barclays… Génial !
Du coup, une demi-heure plus tard, on remonte la bouche de métro et on tombe nez à nez avec le Barclays Center.
Cette salle est magnifique, elle a à peine trois ans, construite en 2011. Sa capacité est de 17 732 places pour les matches de basket. Pour le hockey, elle n’accueille que 14.000 places… On s’en fout.
Avec son espèce de grand huit qui semble surgir de terre, le Barclays possède une architecture révolutionnaire. Sur sa façade, les figures des stars de NBA s’affichent sur des larges panneaux digitaux. Impressionnant ! Allez zou, on fait quelques photos-souvenirs et on pénètre à l’intérieur.
Bon, autant le dire tout de suite, le sport aux USA, c’est avant tout du spectacle. Il ne faut pas s’attendre à la folie qu’on voit dans tous les stades européens ou sud-américains. Ici, on vient avant tout pour passer un bon moment en famille ou entre amis. Le reste a moins d’importance.
Du coup, ce n’est quand même pas la folle ambiance. Les Nets se débarrassent d’Orlando sans coup férir, mais ça n’est pas le grand enthousiasme. J’ai beau taper dans les mains, crier et hurler « let’s go Nets ! let’s go Nets ! », rien n’y fait. « Tu sais quoi, Aurélie, j’ai l’impression que les gars me regardent un peu comme un extraterrestre ! »
Heureusement, il y a à boire et à manger à l’intérieur de l’enceinte. J’ai même droit au poster de mon équipe préférée !
Bon, ce soir, pour couronner cette belle journée américaine, rendez-vous dans une institution gastronomique de New York : direction Carmine et sa cuisine italienne. Un restaurant pas comme les autres planté en plein cœur de Broadway qui fait partie du patrimoine de la Grosse Pomme.
Ici, les stars de cinéma, de la politique, de la chanson, du sport, de la boxe, sans oublier les figures de la mafia italo-américaine, s’y sont succédé. Sur les murs du restaurant, les clichés de stars s’entremêlent et se chevauchent. Une grande partie de l’histoire de New York converge vers ce lieu mythique.
Du coup, cela vaut bien quelques minutes d’attente passées au bar et un pourboire gargantuesque laissé au barman (elle est sympa, Aurélie !). Une demi-heure plus tard, nous voici au premier étage du restaurant pour déguster des pastas italiennes. Un régal.
