Andalousie
De Cordoue à Séville
Table des matières
Comment se déplacer, quel budget, quels vols, quel itinéraire, quels pièges à éviter, visas, sécurité, bons plans, on vous dit tout ici.
Visiter l’Andalousie, c’est découvrir une région où se mêlent profondément les héritages arabo-musulman, chrétien et gitan, créant une culture unique en Europe. Cette fusion se manifeste dans son architecture, sa musique, ses traditions et même dans l’atmosphère de ses villes et villages. Ce voyage va me permettre de découvrir cette région qui a tant de trésors à offrir.
Pour ces premiers moments passés à Séville, je traverse le centre historique de la ville et me dirige droit vers la cathédrale, la plus grande du monde catholique. Hélas, en cette matinée de novembre, mes espoirs vont être douchés car une bonne partie de l’édifice est fermé à la visite. Un important service de sécurité empêche d’accéder aux principaux points de l’église. Ce sera donc pour une autre fois, j’y retournerai en fin d’après-midi.
Visiter le palais de l’Alcazar de Séville (Reales Alcázares) et ses jardins est essentiel. Il est l’un des monuments les plus visités d’Espagne et un site classé au patrimoine mondial de l’UNESCO. L’Alcazar est le plus ancien palais royal encore en usage en Europe – le roi d’Espagne y réside lors de ses visites à Séville. Sa construction a commencé au Moyen Âge, sur les vestiges d’un palais musulman, et s’est poursuivie pendant des siècles. Il en résulte une superposition fascinante de styles : art mudéjar, gothique, Renaissance et baroque. Chaque salle, chaque cour raconte une époque, des souverains almohades à Pierre Ier le Cruel, des Rois Catholiques aux grands explorateurs des Amériques qui planifièrent ici leurs voyages. Le cœur du palais est le Palais de Pierre Ier, un joyau de l’art mudéjar du XIVe siècle. Ses patios, ses salles aux murs recouverts d’azulejos et de stucs finement sculptés, ses plafonds de bois doré créent une atmosphère d’une richesse extraordinaire. Les inscriptions en arabe, les motifs géométriques et les jardins intérieurs évoquent délibérément l’héritage des palais de l’Alhambra, faisant de l’Alcazar un prolongement de l’âge d’or andalou.
Visiter les Archives générales des Indes est une expérience unique, plus intellectuelle que spectaculaire, mais essentielle pour comprendre l’impact mondial de l’Espagne des XVIe au XVIIIe siècles. L’édifice en lui-même, situé entre la Cathédrale et l’Alcazar, est un beau palais de la Renaissance espagnole, construit à la fin du XVIe siècle pour abriter la Lonja de Mercaderes. Son affectation en 1785 comme dépôt central de tous les documents relatifs aux colonies espagnoles en fit un lieu symbolique du pouvoir et de la mémoire de l’empire. L’architecture sobre et imposante de Juan de Herrera sert d’écrin à l’un des fonds documentaires les plus précieux au monde sur l’exploration et la colonisation des Amériques et des Philippines. Les Archives conservent environ 43.000 liasses et 80 millions de pages de documents originaux. On y trouve des pièces aussi célèbres que la bulle du Pape Alexandre VI partageant le Nouveau Monde, les journaux de bord de Christophe Colomb, les plans des premières villes coloniales, les correspondances des conquistadors comme Cortés ou Pizarro, et des cartes anciennes.
Visiter le barrio Santa Cruz à Séville, c’est plonger au cœur de l’âme historique et romantique de la ville. Ancien quartier juif médiéval, il fut réhabilité et embelli au XXe siècle pour l’Exposition ibéro-américaine de 1929. Contrairement aux grandes artères commerçantes, Santa Cruz offre une échappée tranquille. Ses ruelles pavées sinueuses (comme la fameuse Callejón del Agua longeant les anciens remparts de l’Alcazar), ses placettes cachées (Plaza de Doña Elvira, Plaza de los Venerables) et ses recoins ombragés créent une atmosphère de village dans la ville. Le quartier regorge de petits monuments et légendes. On y trouve l’Hospital de los Venerables (un bel exemple d’architecture baroque sévillane), des églises discrètes, et des vestiges de l’ancienne muraille. Chaque place a son histoire, souvent liée aux figures de la littérature espagnole comme Don Juan ou Carmen. C’est aussi le quartier traditionnel des cours (patios) fleuris, surtout spectaculaires pendant le concours de patios au printemps. Santa Cruz est situé entre l’Alcazar royal et la Cathédrale avec la Giralda. Sa visite s’intègre donc naturellement dans un circuit touristique.
Visiter les Archives générales des Indes est une expérience unique, plus intellectuelle que spectaculaire, mais essentielle pour comprendre l’impact mondial de l’Espagne des XVIe au XVIIIe siècles. L’édifice en lui-même, situé entre la Cathédrale et l’Alcazar, est un beau palais de la Renaissance espagnole, construit à la fin du XVIe siècle pour abriter la Lonja de Mercaderes. Son affectation en 1785 comme dépôt central de tous les documents relatifs aux colonies espagnoles en fit un lieu symbolique du pouvoir et de la mémoire de l’empire. L’architecture sobre et imposante de Juan de Herrera sert d’écrin à l’un des fonds documentaires les plus précieux au monde sur l’exploration et la colonisation des Amériques et des Philippines. Les Archives conservent environ 43.000 liasses et 80 millions de pages de documents originaux. On y trouve des pièces aussi célèbres que la bulle du Pape Alexandre VI partageant le Nouveau Monde, les journaux de bord de Christophe Colomb, les plans des premières villes coloniales, les correspondances des conquistadors comme Cortés ou Pizarro, et des cartes anciennes.
Visiter le barrio Santa Cruz à Séville, c’est plonger au cœur de l’âme historique et romantique de la ville. Ancien quartier juif médiéval, il fut réhabilité et embelli au XXe siècle pour l’Exposition ibéro-américaine de 1929. Contrairement aux grandes artères commerçantes, Santa Cruz offre une échappée tranquille. Ses ruelles pavées sinueuses (comme la fameuse Callejón del Agua longeant les anciens remparts de l’Alcazar), ses placettes cachées (Plaza de Doña Elvira, Plaza de los Venerables) et ses recoins ombragés créent une atmosphère de village dans la ville. Le quartier regorge de petits monuments et légendes. On y trouve l’Hospital de los Venerables (un bel exemple d’architecture baroque sévillane), des églises discrètes, et des vestiges de l’ancienne muraille. Chaque place a son histoire, souvent liée aux figures de la littérature espagnole comme Don Juan ou Carmen. C’est aussi le quartier traditionnel des cours (patios) fleuris, surtout spectaculaires pendant le concours de patios au printemps. Santa Cruz est situé entre l’Alcazar royal et la Cathédrale avec la Giralda. Sa visite s’intègre donc naturellement dans un circuit touristique.
Visiter les Archives générales des Indes est une expérience unique, plus intellectuelle que spectaculaire, mais essentielle pour comprendre l’impact mondial de l’Espagne des XVIe au XVIIIe siècles. L’édifice en lui-même, situé entre la Cathédrale et l’Alcazar, est un beau palais de la Renaissance espagnole, construit à la fin du XVIe siècle pour abriter la Lonja de Mercaderes. Son affectation en 1785 comme dépôt central de tous les documents relatifs aux colonies espagnoles en fit un lieu symbolique du pouvoir et de la mémoire de l’empire. L’architecture sobre et imposante de Juan de Herrera sert d’écrin à l’un des fonds documentaires les plus précieux au monde sur l’exploration et la colonisation des Amériques et des Philippines. Les Archives conservent environ 43.000 liasses et 80 millions de pages de documents originaux. On y trouve des pièces aussi célèbres que la bulle du Pape Alexandre VI partageant le Nouveau Monde, les journaux de bord de Christophe Colomb, les plans des premières villes coloniales, les correspondances des conquistadors comme Cortés ou Pizarro, et des cartes anciennes.
Visiter le barrio Santa Cruz à Séville, c’est plonger au cœur de l’âme historique et romantique de la ville. Ancien quartier juif médiéval, il fut réhabilité et embelli au XXe siècle pour l’Exposition ibéro-américaine de 1929. Contrairement aux grandes artères commerçantes, Santa Cruz offre une échappée tranquille. Ses ruelles pavées sinueuses (comme la fameuse Callejón del Agua longeant les anciens remparts de l’Alcazar), ses placettes cachées (Plaza de Doña Elvira, Plaza de los Venerables) et ses recoins ombragés créent une atmosphère de village dans la ville. Le quartier regorge de petits monuments et légendes. On y trouve l’Hospital de los Venerables (un bel exemple d’architecture baroque sévillane), des églises discrètes, et des vestiges de l’ancienne muraille. Chaque place a son histoire, souvent liée aux figures de la littérature espagnole comme Don Juan ou Carmen. C’est aussi le quartier traditionnel des cours (patios) fleuris, surtout spectaculaires pendant le concours de patios au printemps. Santa Cruz est situé entre l’Alcazar royal et la Cathédrale avec la Giralda. Sa visite s’intègre donc naturellement dans un circuit touristique.
Visiter les Archives générales des Indes est une expérience unique, plus intellectuelle que spectaculaire, mais essentielle pour comprendre l’impact mondial de l’Espagne des XVIe au XVIIIe siècles. L’édifice en lui-même, situé entre la Cathédrale et l’Alcazar, est un beau palais de la Renaissance espagnole, construit à la fin du XVIe siècle pour abriter la Lonja de Mercaderes. Son affectation en 1785 comme dépôt central de tous les documents relatifs aux colonies espagnoles en fit un lieu symbolique du pouvoir et de la mémoire de l’empire. L’architecture sobre et imposante de Juan de Herrera sert d’écrin à l’un des fonds documentaires les plus précieux au monde sur l’exploration et la colonisation des Amériques et des Philippines. Les Archives conservent environ 43.000 liasses et 80 millions de pages de documents originaux. On y trouve des pièces aussi célèbres que la bulle du Pape Alexandre VI partageant le Nouveau Monde, les journaux de bord de Christophe Colomb, les plans des premières villes coloniales, les correspondances des conquistadors comme Cortés ou Pizarro, et des cartes anciennes.
Visiter le barrio Santa Cruz à Séville, c’est plonger au cœur de l’âme historique et romantique de la ville. Ancien quartier juif médiéval, il fut réhabilité et embelli au XXe siècle pour l’Exposition ibéro-américaine de 1929. Contrairement aux grandes artères commerçantes, Santa Cruz offre une échappée tranquille. Ses ruelles pavées sinueuses (comme la fameuse Callejón del Agua longeant les anciens remparts de l’Alcazar), ses placettes cachées (Plaza de Doña Elvira, Plaza de los Venerables) et ses recoins ombragés créent une atmosphère de village dans la ville. Le quartier regorge de petits monuments et légendes. On y trouve l’Hospital de los Venerables (un bel exemple d’architecture baroque sévillane), des églises discrètes, et des vestiges de l’ancienne muraille. Chaque place a son histoire, souvent liée aux figures de la littérature espagnole comme Don Juan ou Carmen. C’est aussi le quartier traditionnel des cours (patios) fleuris, surtout spectaculaires pendant le concours de patios au printemps. Santa Cruz est situé entre l’Alcazar royal et la Cathédrale avec la Giralda. Sa visite s’intègre donc naturellement dans un circuit touristique.
Visiter les Archives générales des Indes est une expérience unique, plus intellectuelle que spectaculaire, mais essentielle pour comprendre l’impact mondial de l’Espagne des XVIe au XVIIIe siècles. L’édifice en lui-même, situé entre la Cathédrale et l’Alcazar, est un beau palais de la Renaissance espagnole, construit à la fin du XVIe siècle pour abriter la Lonja de Mercaderes. Son affectation en 1785 comme dépôt central de tous les documents relatifs aux colonies espagnoles en fit un lieu symbolique du pouvoir et de la mémoire de l’empire. L’architecture sobre et imposante de Juan de Herrera sert d’écrin à l’un des fonds documentaires les plus précieux au monde sur l’exploration et la colonisation des Amériques et des Philippines. Les Archives conservent environ 43.000 liasses et 80 millions de pages de documents originaux. On y trouve des pièces aussi célèbres que la bulle du Pape Alexandre VI partageant le Nouveau Monde, les journaux de bord de Christophe Colomb, les plans des premières villes coloniales, les correspondances des conquistadors comme Cortés ou Pizarro, et des cartes anciennes.
Visiter le barrio Santa Cruz à Séville, c’est plonger au cœur de l’âme historique et romantique de la ville. Ancien quartier juif médiéval, il fut réhabilité et embelli au XXe siècle pour l’Exposition ibéro-américaine de 1929. Contrairement aux grandes artères commerçantes, Santa Cruz offre une échappée tranquille. Ses ruelles pavées sinueuses (comme la fameuse Callejón del Agua longeant les anciens remparts de l’Alcazar), ses placettes cachées (Plaza de Doña Elvira, Plaza de los Venerables) et ses recoins ombragés créent une atmosphère de village dans la ville. Le quartier regorge de petits monuments et légendes. On y trouve l’Hospital de los Venerables (un bel exemple d’architecture baroque sévillane), des églises discrètes, et des vestiges de l’ancienne muraille. Chaque place a son histoire, souvent liée aux figures de la littérature espagnole comme Don Juan ou Carmen. C’est aussi le quartier traditionnel des cours (patios) fleuris, surtout spectaculaires pendant le concours de patios au printemps. Santa Cruz est situé entre l’Alcazar royal et la Cathédrale avec la Giralda. Sa visite s’intègre donc naturellement dans un circuit touristique.
Visiter les Archives générales des Indes est une expérience unique, plus intellectuelle que spectaculaire, mais essentielle pour comprendre l’impact mondial de l’Espagne des XVIe au XVIIIe siècles. L’édifice en lui-même, situé entre la Cathédrale et l’Alcazar, est un beau palais de la Renaissance espagnole, construit à la fin du XVIe siècle pour abriter la Lonja de Mercaderes. Son affectation en 1785 comme dépôt central de tous les documents relatifs aux colonies espagnoles en fit un lieu symbolique du pouvoir et de la mémoire de l’empire. L’architecture sobre et imposante de Juan de Herrera sert d’écrin à l’un des fonds documentaires les plus précieux au monde sur l’exploration et la colonisation des Amériques et des Philippines. Les Archives conservent environ 43.000 liasses et 80 millions de pages de documents originaux. On y trouve des pièces aussi célèbres que la bulle du Pape Alexandre VI partageant le Nouveau Monde, les journaux de bord de Christophe Colomb, les plans des premières villes coloniales, les correspondances des conquistadors comme Cortés ou Pizarro, et des cartes anciennes.