Floride – Toutes mes astuces et conseils

Table des matières

Quel itinéraire ?

1er jour – Palerme – Quattro Canti – Giardino Garibaldi – Port.

2e jour : Palerme : Chiesa Santa Maria Caterina Vergine – Chiesa Gesu – Vieille ville – Cathédrale – Jardins de la villa Bonano – Palais des Normands et chapelle Palatine – Piazza Marina – Chiesa de la Pieta – Foro Umberto 1er.

3e jour : Santa Maria Nuova de Monreale – Les ruines de Segeste – L’ancienne cité grecque de Sélinonte

4e jour : Sur les hauteurs d’Erice – Agrigente –

5e jour – Piazza Armerina et  la villa Casale – Syracuse.

6e jour – Catane – Sur les pentes de l’Etna.

7e jour – La vieille ville de Taormina – Le théâtre antique – Baie de Taormina.

Comment se rendre en Sicile et à quel prix ?

Pour vous rendre en Sicile, plusieurs options s’offrent à vous, avec des prix variables selon la saison, la durée du voyage et le niveau de confort. Voici les principales méthodes :

1. En avion (le plus rapide)

  • Depuis la France : Des vols directs relient Paris (Orly/CDG), Marseille, Lyon et d’autres villes à Palerme (PMO), Catane (CTA) ou Trapani (TPS).

  • Compagnies : Air France, Ryanair, EasyJet, Volotea, etc.

  • Prix :

    • Low-cost : À partir de 50–150 € A/R en saison basse (hors été).

    • Haute saison (été) : 150–400 € A/R.

2. En ferry (scénario romantique ou avec voiture)

  • Depuis l’Italie continentale :

    • Gênes, Naples ou Salerne → Palerme/Catane (compagnies : GNV, Tirrenia, Grimaldi).

    • Calabre (Villa San Giovanni) → Messine (traversée de 20 min, fréquente et économique).

  • Prix :

    • Passager sans voiture : 20–50 € (trajet court) à 80–150 € (trajet long).

    • Avec voiture : 100–300 € selon la distance et la saison.

3. En train + ferry (aventure slow travel)

  • Prendre un train de nuit (ex. Paris → Milan/Rome) puis un train de jour jusqu’à un port (ex. Naples ou Villa San Giovanni) avant d’embarquer pour la Sicile.

  • Prix :

    • Train Paris-Italie : 50–150 € (si réservation anticipée).

    • Ferry : comme ci-dessus.

4. En bus + ferry (économique mais long)

  • FlixBus propose des trajets vers Naples ou Reggio Calabria, puis ferry.

  • Prix : 100–200 € A/R (bus + ferry).

5. En voiture (liberté, mais coûts variables)

  • Trajet Paris-Palerme : 1 800 km (péages + carburant : 300–500 € A/R).

  • Inclut le ferry Calabre-Sicile (comme mentionné plus haut).

Budget indicatif par personne (A/R) :

  • Économique : 150–300 € (vol low-cost ou bus + ferry).

  • Confort : 400–700 € (vol direct + location de voiture).

  • Luxe : 1 000 €+ (vols flexibles, hôtels premium).

Pourquoi se déplacer en Sicile en voiture ?

Se déplacer en Sicile nécessite un peu de préparation, car les transports en commun sont parfois irréguliers, surtout dans les zones rurales. C’est la raison pour laquelle pour ce voyage, j’ai décidé de prendre une voiture de location.

  • Pourquoi ? La voiture est idéale pour visiter les villages perchés, les sites isolés (comme les temples d’Agrigente ou la Villa Romana del Casale) et les plages secrètes.

  • Où louer ? Dans les aéroports (Palerme, Catane) ou les grandes villes. Comparez avec RentalcarsDiscoverCars ou Auto Europe.

  • Prix : 30–70 €/jour (selon saison et type de voiture).

  • Conseils :

    • Évitez les centres-villes (rues étroites, zones ZTL interdites).

    • Privilégiez les parkings payants sécurisés (5–15 €/jour).

    • Attention aux conducteurs siciliens… parfois chaotiques !

Comment se déplacer en transport en commun en Sicile ?

La voiture reste la meilleure option pour explorer la Sicile en profondeur, mais les transports en commun suffisent pour un circuit entre grandes villes.

Bus (réseau assez complet, mais lent)

  • Compagnies principales :

    • AST (régionaux), SAIS (longues distances), Interbus (Catane/Syracuse).

    • FlixBus pour des trajets entre grandes villes (ex : Palerme → Catane).

  • Prix : 5–15 € par trajet.

  • Exemples de trajets :

    • Palerme → Agrigente : 8 € (2h).

    • Catane → Taormine : 4 € (1h).

Trains (lents mais panoramiques)

  • Trenitalia : Relie les grandes villes (Palerme, Catane, Messine, Syracuse).

    • Ligne Palerme-Catane (3h, 15–25 €).

    • Ligne côtière Messine-Syracuse (superbes vues).

Quelles sont les formalités pour voyager en Sicile ?

L’Italie faisant partie de l’espace Schengen, pas besoin de passeport. Une carte d’identité suffira. Plus pour votre enregistrement à l’hôtel que pour votre passage à la frontière.

Comment respecter les règles de stationnement ?

En zone bleue le stationnement est payant en journée et il faut utiliser un parcomètre ou une application mobile comme EasyPark pour régler son temps de stationnement comptez entre 1 et 2 euros de l’heure avec souvent une durée limitée à 2 ou 3 heures maximum.

Les zones blanches sont théoriquement gratuites mais elles se remplissent vite et il faut bien vérifier les panneaux car certaines ont des restrictions horaires pour le nettoyage ou sont réservées aux riverains.

Les zones jaunes sont exclusivement réservées aux habitants munis d’une vignette et s’y garer sans autorisation risque de vous valoir une amende salée ou pire une mise en fourrière.

Dans les centres historiques les zones ZTL interdites aux voitures sont surveillées par des caméras et si vous y pénétrez par erreur vous recevrez une amende par courrier quelques semaines plus tard.

Pour éviter tout stress le mieux est de se garer dans un parking payant sécurisé ils coûtent entre 5 et 20 euros par jour selon les villes comme le parking Terminal Bus à Palerme ou le Parcheggio Stesicoro à Catane.

Quand vous trouvez une place pensez à bien replier vos rétroviseurs et à ne rien laisser en évidence dans l’habitacle car les vols de petits objets sont fréquents dans certaines zones.

Si vous explorez une ville comme Taormine ou Syracuse laissez carrément votre voiture en périphérie et prenez une navette ou un taxi car les centres historiques sont souvent impraticables en voiture.

En cas d’amende ne soyez pas surpris si elle est rédigée en italien les infractions les plus courantes sont le stationnement interdit entre 40 et 100 euros et le franchissement de ZTL entre 80 et 150 euros.

Avec ces précautions et un peu de patience vous devriez pouvoir profiter de votre roadtrip sicilien sans mauvaises surprises liées au stationnement.

Comment louer une voiture en Sicile ? Et à quel prix ?

Louer une voiture en Sicile est relativement simple mais demande quelques précautions pour éviter les mauvaises surprises. Les agences de location sont nombreuses dans les aéroports de Palerme et Catane ainsi que dans les grandes villes et stations balnéaires comme Taormine ou Syracuse.

Il est fortement recommandé de réserver votre véhicule à l’avance surtout en haute saison entre juin et septembre car les disponibilités diminuent rapidement et les prix flambent. Les comparateurs comme Rentalcars, DiscoverCars ou Kayak permettent de trouver les meilleurs tarifs en fonction de vos dates.

Pour une petite citadine type Fiat Panda comptez environ 30 à 50 euros par jour en basse saison mais ce prix peut doubler voire tripler en juillet et août. Les SUV ou voitures plus spacieuses démarrent autour de 60 euros la journée avec des pics à 150 euros en pleine saison touristique.

N’oubliez pas que le carburant est assez cher en Italie autour de 1,80 à 2 euros le litre et que certaines agences proposent des forfaits kilométriques limités à vérifier avant la réservation. L’essence est souvent plus économique que le diesel pour des locations de courte durée.

Les assurances sont un point crucial à ne pas négliger. La plupart des locations incluent une assurance responsabilité civile de base mais il est prudent de prendre une franchise réduite ou une couverture complète surtout sur les routes siciliennes réputées accidentogènes. Certaines cartes de crédit gold offrent une protection incluse qu’il faut activer avant le départ.

Pour retirer le véhicule vous aurez besoin de votre permis de conduire valide depuis plus d’un an, d’une carte de crédit au nom du conducteur principal pour la caution et souvent d’un passeport ou carte d’identité. Les jeunes conducteurs de moins de 25 ans paient généralement un supplément jeune conducteur assez élevé.

Attention aux frais cachés comme les suppléments pour un deuxième conducteur ou la restitution du véhicule avec un réservoir non plein. Prenez des photos détaillées de la voiture à la remise des clés pour éviter tout litige sur d’éventuels dommages.

Enfin sachez que la conduite en Sicile peut être sportive avec des routes étroites en montagne et une circulation parfois anarchique dans les villes. Prévoyez toujours un peu plus de temps que prévu pour vos trajets et évitez absolument les zones ZTL sous peine d’amendes salées.

Avec ces conseils et un peu de préparation vous pourrez profiter pleinement de la liberté qu’offre une voiture pour explorer les trésors cachés de cette magnifique île à votre rythme.

Voyager en bus en Sicile, une bonne solution alternative... si vous visez les grandes villes !

Voyager en bus en Sicile est une option économique et pratique pour explorer l’île, surtout si vous souhaitez éviter les tracas de la conduite locale. Le réseau de bus couvre assez bien les principales villes et sites touristiques, avec des compagnies différentes selon les régions.

Les bus interurbains relient efficacement les grandes villes comme Palerme, Catane, Messine, Syracuse et Agrigente. Les compagnies principales sont SAIS Autolinee pour les trajets entre Catane et Palerme ou Messine, AST pour les déplacements autour de Palerme, et Interbus pour les connexions dans la région de Catane et Syracuse. Les gares routières sont généralement situées près des centres-villes ou des gares ferroviaires, ce qui facilite les correspondances.

Pour les trajets les plus fréquentés comme Palerme-Catane ou Catane-Taormine, les bus partent toutes les heures environ en journée. En revanche, pour les destinations moins touristiques ou les villages de l’intérieur, les horaires peuvent être très espacés avec parfois seulement 2 ou 3 départs par jour. Il est donc essentiel de bien vérifier les horaires à l’avance, surtout si vous voyagez le week-end ou en basse saison.

Les prix des billets restent très abordables, avec des trajets courts comme Catane-Taormine à environ 4-5 euros pour 1 heure de route. Pour des distances plus longues comme Palerme-Agrigente (2h30 de trajet), comptez entre 8 et 12 euros selon la compagnie. Les billets s’achètent soit directement à bord (un peu plus cher), soit dans les gares routières, soit dans les tabaccherie (bureaux de tabac), soit parfois en ligne sur les sites des compagnies.

Dans les grandes villes comme Palerme et Catane, les bus urbains permettent de se déplacer facilement pour environ 1,50 euro le ticket valable 90 minutes. Des pass journaliers à 5 euros environ peuvent être intéressants si vous prévoyez plusieurs trajets dans la journée. Attention cependant aux retards fréquents et à la forte affluence aux heures de pointe.

Pour les voyageurs souhaitant explorer les sites archéologiques comme la Vallée des Temples à Agrigente ou le site de Sélinonte, des bus spéciaux relient généralement les gares routières à ces attractions pour quelques euros supplémentaires. Certaines compagnies proposent aussi des forfaits combinant transport et entrée sur les sites.

En haute saison touristique, il est prudent d’arriver un peu en avance pour être sûr d’avoir une place, surtout sur les lignes populaires comme celles desservant Taormine ou Cefalù. Les bus climatisés sont devenus la norme, ce qui rend les trajets plus confortables pendant les chauds étés siciliens.

Même si les horaires peuvent parfois être imprévisibles et les correspondances pas toujours évidentes, le bus reste un excellent moyen de transport pour les voyageurs souhaitant découvrir la Sicile sans se ruiner, tout en ayant l’occasion de rencontrer des locaux et d’admirer les paysages à un rythme tranquille.

 

Et le train, c'est comment ? Est-ce vraiment une bonne idée ?

Prendre le train en Sicile est une expérience à part entière, avec ses avantages et ses inconvénients qu’il faut peser selon son itinéraire. Le réseau ferroviaire sicilien, géré principalement par Trenitalia, relie les grandes villes côtières comme Palerme, Catane, Messine et Syracuse dans des paysages souvent magnifiques, surtout le long de la côte entre Messine et Taormine où la voie serpente entre mer et falaises. Les trains sont généralement ponctuels sur les lignes principales, mais peuvent subir des retards importants sur les axes secondaires, avec des fréquences parfois limitées à quelques trains par jour pour les destinations moins touristiques.

Les tarifs restent très raisonnables, avec un trajet Palerme-Catane (2h30-3h) autour de 15-25 euros en train régional, et seulement 12-18 euros pour Messine-Taormine (45 minutes). Les billets s’achètent facilement en gare, en ligne sur le site Trenitalia, ou via des applications comme Trainline, souvent avec des réductions pour les réservations anticipées. Les trains InterCity, un peu plus chers (environ 30% de supplément), offrent plus de confort et des trajets légèrement plus rapides entre les grandes villes.

Le principal atout du train est son confort relatif par rapport aux bus pour des trajets longs, avec la possibilité de se déplacer, d’avoir plus d’espace pour les jambes et de profiter des paysages sans se concentrer sur la route. Certaines lignes comme la côtière Syracuse-Messine ou la traversée des monts Nebrodi entre Palerme et Catane offrent des panoramas époustouflants que vous ne verriez pas en bus. Les trains régionaux sont souvent moins bondés que les bus en haute saison, sauf peut-être sur l’axe très touristique Taormine-Catane.

Cependant, le réseau a ses limites : de nombreuses zones intéressantes comme Agrigente, Raguse ou l’intérieur des terres sont mal desservies, obligeant à combiner avec des bus. Les gares sont parfois excentrées (comme à Taormine où il faut prendre un bus ou un taxi pour rejoindre le centre), et les correspondances pas toujours pratiques. Les trains locaux peuvent être vétustes, sans climatisation efficace en été, et les toilettes pas toujours très propres sur les anciens modèles.

Pour un voyageur pressé, le train n’est pas toujours optimal à cause des trajets parfois longs (la ligne Palerme-Catane fait un détour par l’intérieur plutôt que de suivre la côte), mais pour ceux qui ont le temps et veulent voyager de manière plus détendue, c’est une alternative agréable aux bus. L’astuce est de bien planifier ses horaires à l’avance, prévoir des temps de trajet larges, et éventuellement combiner avec d’autres moyens de transport pour les étapes non desservies.

En résumé, le train en Sicile est une bonne idée pour les trajets entre grandes villes côtières si vous privilégiez le paysage et le confort sur la vitesse, mais il faut compléter avec bus ou location de voiture pour explorer pleinement l’île. Avec des prix souvent inférieurs à la location de voiture et sans le stress de la conduite locale, il reste un choix judicieux pour les voyageurs voulant admirer la Sicile à un rythme tranquille.

Prendre un taxi ? Hors de prix !

  1. Prendre le taxi en Sicile peut être pratique dans certaines situations mais reste une option assez coûteuse qu’il vaut mieux utiliser avec modération. Les taxis officiels (blancs avec des marquages spécifiques) sont équipés de compteurs et leurs tarifs sont réglementés, avec une prise en charge autour de 3 à 5 euros dès la montée, puis environ 1,50 à 2 euros par kilomètre, ce qui peut vite représenter des sommes importantes pour des trajets un peu longs.

    Dans les grandes villes comme Palerme ou Catane, les taxis sont utiles pour rejoindre votre hôtel depuis la gare ou l’aéroport en évitant les transports encombrés, avec par exemple un trajet aéroport de Catane-centre ville autour de 25-30 euros pour 15 minutes de route. Les chauffeurs sont généralement honnêtes quand on prend un taxi officiel, mais méfiez-vous des “faux taxis” qui pratiquent des tarifs abusifs près des zones touristiques comme Taormine ou aux abords des ports de croisière.

    Pour des trajets entre villes, le taxi devient très onéreux et peu pratique, avec par exemple un Palerme-Taormine qui pourrait coûter plus de 200 euros, une option vraiment à réserver aux urgences ou aux groupes pouvant partager les frais. Il est toujours préférable de négocier le prix avant le départ pour les longs trajets ou les courses de nuit, car certains chauffeurs peuvent proposer des forfaits plus intéressants que le compteur dans ces cas-là.

    Les applications comme Uber ne sont quasiment pas utilisées en Sicile, mais certaines villes ont leurs propres apps locales pour commander des taxis officiels, ce qui évite les mauvaises surprises. À Palerme par exemple, l’application “Amigo Taxi” permet de réserver facilement et de connaître le prix approximatif à l’avance.

    En résumé, le taxi en Sicile est une solution ponctuelle pratique pour des trajets courts en ville ou des transferts aéroport, mais trop cher pour être utilisé systématiquement. Pour les budgets serrés, mieux vaut privilégier les transports en commun ou la location de voiture dès qu’on veut s’éloigner des centres urbains. Pensez toujours à vérifier que le compteur est bien enclenché et n’hésitez pas à demander une estimation du prix avant de monter pour éviter les mauvaises surprises.

Les VTC et compagnies comme Uber ou Bolt sont-ils une bonne alternative ?

Les VTC comme Uber ou Bolt ne sont pas vraiment une alternative viable en Sicile, car ces plateformes y sont quasiment absentes ou très limitées dans leur offre. Uber n’opère qu’à Palerme avec son service Uber Black, réservé à des véhicules haut de gamme à des tarifs bien plus élevés qu’un taxi classique, tandis que Bolt et d’autres applications similaires ne sont pas implantées sur l’île.

Les taxis traditionnels restent donc la principale option pour ce type de transport, avec des tarifs réglementés et des véhicules facilement identifiables. Dans les grandes villes comme Catane ou Palerme, il existe des applications locales comme “Amigo Taxi” ou “RT Radio Taxi” qui permettent de commander un taxi officiel avec une estimation du prix, offrant un service similaire à celui des VTC sans les risques de surfacturation.

Le permis international est-il obligatoire pour rouler en Sicile ?

Non, le permis international n’est pas obligatoire pour conduire en Sicile si vous êtes titulaire d’un permis de conduire français ou européen valide. La Sicile, comme toute l’Italie, reconnaît les permis émis par les pays de l’Union européenne sans nécessiter de traduction ou de permis complémentaire.

Se loger en Sicile, à l'hôtel, combien ça coûte ?

Le coût d’un hôtel en Sicile dépend beaucoup de la saison, de la ville et du niveau de confort que vous recherchez.

En basse saison (hiver, hors vacances de Noël), vous pouvez trouver des hôtels modestes ou des chambres d’hôtes à partir de 40-60 € la nuit, surtout dans des villes moins touristiques comme Catane ou Messine.

Dans des destinations prisées comme Taormina, Syracuse ou Palerme, les prix moyens pour un hôtel correct se situent entre 80 et 120 € la nuit, avec parfois des petits déjeuners inclus et une belle vue sur la mer ou le centre historique.

Si vous cherchez du luxe, comme un hôtel 5 étoiles à Taormina (le Belmond Grand Hotel Timeo ou l’San Domenico Palace), les tarifs peuvent facilement dépasser 300-500 € la nuit, surtout en été ou lors des festivals locaux.

Pendant la haute saison (juillet-août et vacances de Pâques), les prix augmentent partout, parfois de 30 à 50 %, et il est conseillé de réserver longtemps à l’avance pour éviter les mauvaises surprises.

Dans les villages côtiers ou les zones moins fréquentées comme Cefalù, Agrigente ou les îles Égades, les tarifs restent plus abordables, souvent entre 60 et 100 € pour un hôtel confortable près de la plage.

Enfin, si vous voyagez en groupe ou en famille, les résidences hôtelières et les appartements avec cuisine peuvent être une option économique, avec des prix autour de 70-150 € par nuit pour un logement entier.

Le meilleur conseil est de comparer les offres sur Booking, Airbnb ou les sites locaux, et de vérifier les avis pour éviter les mauvaises surprises.

Se loger en Sicile, chez l'habitant en résidence type Airbnb, combien ça coûte ?

Loger chez l’habitant en Sicile via Airbnb ou des résidences similaires offre des tarifs souvent plus attractifs qu’à l’hôtel, avec en prime une immersion dans la vie locale.

Pour une chambre privée chez l’habitant, les prix démarrent autour de 25-40 € la nuit dans des villes comme Catane ou Palerme, un peu plus si vous voulez une vue mer ou un cadre typique.

Un appartement entier en centre-ville, idéal pour un couple ou un petit groupe, coûte généralement entre 50 et 100 € la nuit, selon le standing et la proximité des sites touristiques.

Dans les zones très prisées comme Taormina ou Ortigia (Syracuse), les tarifs grimpent vite : comptez 80-150 € pour un logement entier bien situé, et parfois bien plus pour une terrasse avec vue sur la mer ou un décor authentique.

En pleine saison estivale, surtout en juillet-août, les prix augmentent de 20 à 50 %, et les meilleures adresses partent très tôt, mieux vaut réserver plusieurs mois à l’avance.

Dans les villages moins touristiques ou à l’intérieur des terres, comme Modica ou Noto, les locations restent abordables, souvent entre 40 et 80 € la nuit pour un logement spacieux et plein de charme.

Certains hôtes proposent des réductions pour des séjours longs (une semaine ou plus), ce qui peut faire baisser le coût journalier de 10 à 20 %, une bonne option pour un voyage en immersion.

Enfin, n’oubliez pas de vérifier les frais de ménage et de service, qui peuvent ajouter 10-30 € au total, ainsi que les commentaires des précédents voyageurs pour éviter les mauvaises surprises.

Se loger en Sicile, en auberge de jeunesse, combien ça coûte ?

Les auberges de jeunesse en Sicile offrent une solution économique avec des prix bien plus bas que les hôtels tout en permettant de rencontrer d’autres backpackers.

Pour un lit en dortoir mixte, comptez généralement 15 à 25 € par nuit dans les grandes villes comme Palerme ou Catane, parfois moins hors saison si vous trouvez des promotions de dernière minute.

Certaines auberges proposent des chambres privées simples pour 30 à 50 €, une bonne alternative pour ceux qui veulent un peu plus d’intimité sans se ruiner.

À Taormina ou Syracuse, où l’affluence touristique est forte, les prix montent un peu, avec des lits en dortoir autour de 20 à 30 € et des chambres privées jusqu’à 60 € en haute saison.

Les auberges les mieux notées, souvent situées en centre-ville ou près des gares, affichent des tarifs légèrement plus élevés mais offrent parfois des petits déjeuners inclus ou des activités en groupe.

En été, de juin à septembre, il est conseillé de réserver à l’avance car les auberges se remplissent vite, surtout dans les zones côtières comme Cefalù ou San Vito Lo Capo.

Certaines auberges indépendantes dans des villages moins touristiques, comme ceux des monts Nebrodi, proposent des prix encore plus bas, parfois 12 à 18 € la nuit, avec une ambiance plus familiale.

N’oubliez pas que le prix affiché ne comprend pas toujours les serviettes ou les casiers, et que certaines auberges demandent une caution pour les clés, à vérifier avant de réserver.

Globalement, les auberges de jeunesse restent le meilleur choix pour les petits budgets, avec en prime une atmosphère conviviale et des conseils locaux partagés entre voyageurs.

Se loger en Sicile, au camping, combien ça coûte ?

Le camping en Sicile est une option très abordable pour les voyageurs souhaitant profiter des paysages tout en gardant un petit budget.

Pour une nuit sous tente avec deux personnes, les tarifs débutent généralement autour de 15 à 25 €, comprenant souvent l’accès aux sanitaires et à la piscine dans les campings bien équipés.

Si vous préférez louer un mobil-home ou un bungalow, les prix varient entre 40 et 80 € la nuit selon la taille et le niveau de confort, une solution pratique pour les familles ou ceux qui veulent éviter de monter une tente.

Les campings situés près des plages les plus populaires, comme celles de San Vito Lo Capo ou de la côte de Syracuse, affichent des tarifs un peu plus élevés, surtout en juillet et août où les prix peuvent augmenter de 20 à 30%.

En basse saison, notamment en mai, juin ou septembre, de nombreux campings proposent des réductions intéressantes, avec des nuitées parfois 30% moins chères qu’en plein été.

Certains terrains de camping sauvage existent, mais ils sont souvent tolérés plutôt qu’officiels, mieux vaut se renseigner localement pour éviter les mauvaises surprises avec les propriétaires terriens.

Les meilleurs campings offrent des services supplémentaires comme des restaurants sur place, des animations ou la location de vélos, ce qui peut justifier un tarif un peu plus élevé mais très pratique pour les vacanciers.

Globalement, camper en Sicile reste une excellente façon de découvrir l’île sans dépenser beaucoup, surtout si vous aimez la nature et les rencontres avec d’autres voyageurs autour d’un feu de camp.

Se nourrir en Sicile, ça coûte combien ?

Manger en Sicile peut être très abordable si l’on sait où aller, mais les prix varient énormément selon le type de restauration et le lieu.

Un repas simple dans une trattoria ou un petit restaurant local coûte généralement 10 à 20 € par personne, avec un plat de pâtes maison, une arancina et une boisson.

Pour un dîner dans un restaurant un peu plus chic, surtout dans des villes touristiques comme Taormina ou Syracuse, comptez plutôt 25 à 50 € avec entrée, plat, dessert et un verre de vin local.

Les spécialités street food comme les arancini, les panelle ou les cannoli se trouvent pour 1 à 4 € dans les échoppes et marchés, une option parfaite pour manger bien et pas cher en explorant.

Au supermarché, les produits locaux (pâtes, fromages, charcuterie, fruits) permettent de composer des repas pour 5 à 10 € par personne, idéal pour les budgets serrés ou les pique-niques.

Les prix montent en été dans les zones très fréquentées, surtout près des plages ou des sites touristiques, où une pizza simple peut facilement coûter 12 à 18 € au lieu des 6 à 10 € habituels.

Les desserts typiques comme la cassata ou les granités au citron valent le détour, avec des prix entre 3 et 6 € selon les endroits, une douceur à ne pas manquer.

Boire un espresso coûte généralement 1 €, un cappuccino 1,50 €, et une bouteille de vin local peut s’acheter à partir de 5 € en épicerie, bien moins cher qu’au restaurant.

En résumé, la Sicile offre une cuisine savoureuse à tous les prix, des petits snacks aux expériences gastronomiques, avec toujours cette générosité méditerranéenne qui fait tout son charme.

 

Quel budget pour les sorties ?

Voilà un budget qui peut facilement déraper si vous ne faites pas attention.

Une entrée dans un musée ou un site archéologique coûte généralement entre 5 et 15 €, avec des réductions pour les étudiants et les seniors, tandis que les sites majeurs comme la Vallée des Temples à Agrigente atteignent 18 € en haute saison.

Les bars proposent des cocktails entre 6 et 12 € selon leur standing, avec des happy hours intéressants vers 18h où les prix baissent souvent de 30%, surtout dans les villes étudiantes comme Catane.

Pour une soirée en discothèque, particulièrement dans les zones branchées de Taormina ou Mondello, comptez 15 à 25 € l’entrée avec une consommation incluse, les boissons supplémentaires variant entre 8 et 15 €.

Les concerts en plein air et festivals d’été, comme le Taormina Arte ou le Festival de Jazz à Palerme, offrent parfois des événements gratuits, tandis que les grands spectacles peuvent monter jusqu’à 50 € pour les places premium.

Une excursion en bateau vers les îles Égades ou Lipari coûte environ 40 à 80 € la journée avec repas inclus, alors qu’une simple traversée pour Favignana reste à 15 € aller-retour.

Les cinémas en plein air, très populaires l’été, affichent des tarifs doux autour de 7 à 10 €, souvent avec une vue mer en toile de fond pour une ambiance magique.

Les visites guidées thématiques (street food, baroque sicilien) démarrent à 25 € par personne, tandis que les expériences exclusives comme des dégustations privées dans des caves viticoles peuvent atteindre 100 €.

N’oubliez pas que de nombreuses merveilles siciliennes sont gratuites : flâner dans les marchés colorés, admirer les couchers de soleil sur les temples ou danser lors des fêtes patronales offre des souvenirs inoubliables sans dépenser un euro.

Les tarifs des musées et des entrées des sites touristique sont-ils abordables en Sicile ?

Les tarifs des musées et sites touristiques en Sicile sont globalement abordables comparés à d’autres destinations européennes, avec une politique tarifaire qui reste accessible tout en offrant des expériences culturelles de qualité.

La plupart des musées régionaux et sites archéologiques secondaires appliquent des entrées entre 5 et 10 €, comme le Musée Archéologique Régional de Syracuse ou les catacombes de Palerme, ce qui permet de découvrir l’histoire sicilienne sans se ruiner.

Certains sites majeurs comme la Vallée des Temples à Agrigente ou le Parc Archéologique de Néapolis à Syracuse affichent des tarifs autour de 12 à 18 €, justifiés par l’étendue des vestiges et la qualité de la mise en valeur, avec souvent des audioguides inclus.

Les réductions pour étudiants, seniors et familles sont systématiquement proposées (généralement 50% de réduction), tandis que les enfants de moins de 12 ans bénéficient presque toujours de la gratuité, un vrai plus pour les voyageurs en famille.

Certaines villes comme Palerme proposent des pass culturels à 25-35 € (valables 3 jours) donnant accès à une dizaine de sites majeurs, une solution économique pour les passionnés d’art et d’histoire souhaitant visiter intensivement.

Quelques joyaux comme la Cathédrale de Monreale ou la Chapelle Palatine maintiennent des tarifs d’entrée raisonnables (environ 8-10 €) malgré leur valeur artistique exceptionnelle, contrairement à des sites équivalents en Italie continentale souvent plus chers.

La gratuité est fréquente le premier dimanche du mois (comme dans toute l’Italie), et certains sites mineurs comme les églises baroques de Noto ou Modica se visitent librement avec seulement une offrande suggérée.

Seules quelques expériences très spécifiques (visites guidées exclusives, accès à des zones protégées) peuvent atteindre 30-50 €, mais elles restent optionnelles et ne concernent pas les visiteurs occasionnels.

Globalement, la Sicile offre un excellent rapport qualité-prix pour les amateurs de culture, avec des tarifs bien inférieurs à ceux de Florence ou Venise pour un patrimoine tout aussi remarquable, surtout si l’on profite des nombreuses réductions disponibles.

Quels sont les meilleurs bons plans quand on visite la Sicile pour faire des économies ?

Visiter la Sicile sans se ruiner est tout à fait possible en adoptant quelques astuces locales et bons plans malins.

Privilégiez les déplacements en bus interurbains plutôt qu’en train pour les trajets entre villes – les compagnies comme SAIS ou AST proposent des liaisons à petits prix (parfois 5€ seulement pour Palerme-Catane) avec un réseau assez bien développé.

Misez sur les marchés alimentaires locaux comme la Vucciria à Palerme ou le marché de Catane pour manger des produits frais et typiques à moindre coût – un panier de fruits, fromages et charcuteries siciliens revient à 10-15€ pour plusieurs repas.

Profitez des “apericena” (entre 18h et 20h) dans les bars branchés – pour 8-12€ vous obtenez un cocktail accompagné d’un buffet complet de spécialités locales, solution idéale pour dîner à prix réduit dans une ambiance conviviale.

Optez pour les combo-tickets dans les sites majeurs comme Palerme où le pass “Palermo Archeologica” (38€) donne accès à 7 sites pendant 7 jours – bien plus avantageux que les entrées individuelles achetées séparément.

Explorez les villages de l’intérieur comme Castelbuono ou Montalbano Elicona – non seulement les prix y sont plus doux qu’en bord de mer, mais vous découvrirez une Sicile authentique loin des foules touristiques.

Téléchargez l’application “Sicilia Pass” qui recense les réductions et offres spéciales chez les commerçants partenaires – restaurants, boutiques et même certaines attractions avec des promos allant jusqu’à 30%.

Préférez la basse saison (avril-mai ou septembre-octobre) quand les hébergements baissent leurs tarifs de 30 à 50% tout en offrant un climat encore très agréable pour visiter.

N’hésitez pas à négocier les prix des excursions en bateau ou des locations de voiture hors saison – les prestataires locaux sont souvent ouverts à discuter le tarif, surtout pour des réservations de dernière minute.

Enfin, profitez des nombreuses merveilles gratuites : baignades dans les criques sauvages, églises baroques accessibles librement, ou simplement le spectacle permanent des ruelles animées et marchés colorés qui font le charme de l’île sans rien coûter.

Parlons sécurité

Franchement, je ne me suis jamais senti en insécurité en Sicile. Les Siciliens sont vraiment super accueillants et seront toujours prêts à vous aider si vous êtes perdu par exemple. Toutefois, il faut rester vigilant et adapter son comportement selon les zones visitées.

Dans les grandes villes comme Palerme ou Catane, les petits délits (pickpocketing, vols à l’arraché) existent surtout dans les lieux très touristiques et les transports en commun – gardez un œil sur vos affaires dans le marché de la Vucciria, autour du théâtre Massimo ou dans les bus bondés.

Les quartiers périphériques des grandes villes (comme Brancaccio à Palerme ou San Cristoforo à Catane) sont à éviter le soir si vous ne connaissez pas bien les lieux, privilégiez les centres historiques animés où la présence policière est plus visible.

En journée, les sites touristiques majeurs (Taormina, Syracuse, Agrigente) sont très sûrs, mais méfiez-vous des faux guides ou des vendeurs trop insistants près des monuments – un simple “no grazie” ferme suffit généralement.

La conduite en Sicile demande une attention particulière : les conducteurs locaux ont un style… disons “dynamique”, et les scooters peuvent surgir de n’importe où – louer une petite voiture plutôt qu’un scooter est souvent plus prudent pour les visiteurs peu habitués.

Sur les plages, ne laissez jamais vos objets de valeur sans surveillance (même 5 minutes) – beaucoup d’hôtels ou campings proposent des coffres ou consignes sécurisés pour éviter les mauvaises surprises.

Les risques liés à la mafia existent mais concernent très rarement les touristes – vous ne verrez rien de visible, et les commerçants/appartements loués aux voyageurs n’ont aucun rapport avec ces activités.

Dans les petits villages de l’intérieur et les îles (Lipari, Favignana), la criminalité est quasi inexistante – vous pourrez vous promener tard le soir sans le moindre souci, les locaux étant souvent très accueillants.

En cas de problème, le numéro d’urgence européen 112 fonctionne parfaitement, et la police touristique (dans les grandes villes) parle généralement anglais ou français pour vous aider.

Surtout ne consommez pas de drogues en Sicile !

La législation italienne est très sévère : la simple détention de cannabis peut entraîner des amendes lourdes et des poursuites pénales, tandis que les drogues dures exposent à des peines de prison ferme sans aucun compromis possible.

Les contrôles policiers sont fréquents près des lieux touristiques et des boîtes de nuit, avec des tests salivaires qui peuvent révéler une consommation même plusieurs jours après – certains voyageurs ont vu leurs vacances gâchées pour un simple joint fumé avant leur départ.

Les réseaux mafieux contrôlent une partie du trafic de stupéfiants, et tenter d’acheter dans la rue expose à des risques d’arnaque, de violence, ou pire – plusieurs cas de touristes piégés puis rackettés ont été documentés.

Les conséquences sanitaires sont aussi à considérer : les substances vendues illégalement sont souvent coupées avec des produits dangereux (fentanyl, méthamphétamines), et les hôpitaux siciliens signalent régulièrement des overdoses accidentelles chez les jeunes visiteurs.

Même dans les milieux festifs (comme les plages de Mondello ou les clubs de Taormina), la tolérance est nulle – les propriétaires d’établissements appellent systématiquement la police dès le moindre soupçon pour éviter eux-mêmes des ennuis judiciaires.

Si vous êtes tenté par l’expérience, sachez que les autorités siciliennes ont intensifié leur campagne “Sicilia Libera dalla Droga” avec des patrouilles renforcées et des peines exemplaires – ce n’est vraiment pas le lieu pour prendre ce genre de risque.

Les prises électriques sont-elles les mêmes en Sicile ?

Oui.En Sicile, comme dans toute l’Italie, les prises électriques suivent le standard européen de type F (ou “Schuko”), avec deux trous ronds et des encoches latérales pour la terre.

Si vous venez de France, de Belgique ou d’autres pays européens, vos appareils fonctionneront sans problème puisque les fiches E/F (à deux broches rondes) sont compatibles – pas besoin d’adaptateur pour votre smartphone ou votre ordinateur portable.

Quelle langue parler en Sicile ?

En tant que touriste en Sicile, vous n’aurez aucun problème à communiquer en italien standard, la langue officielle utilisée dans tous les contextes formels, les panneaux et les sites touristiques.

Les Siciliens parlent couramment leur dialecte local (une langue à part entière, proche de l’italien mais avec des influences arabes, normandes et grecques), mais ils passent naturellement à l’italien avec les visiteurs – inutile de tenter d’imiter l’accent, un simple “buongiorno” suffit.

Dans les zones très touristiques comme Taormina, Palerme ou Syracuse, l’anglais est assez répandu parmi les professionnels du tourisme (hôtels, restaurants, guides), même si le niveau reste souvent basique – apprendre quelques mots d’italien facilite grandement les échanges.

Le français est parfois compris chez les personnes âgées (héritage des échanges historiques) et dans les boutiques haut de gamme, mais ne comptez pas dessus systématiquement – un sourire et des gestes feront passer le message si la langue bloque.

Pour les interactions du quotidien (commander au restaurant, demander un prix, remercier), mémoriser quelques expressions clés en italien change tout :

  • “Quanto costa?” (Combien ça coûte ?)

  • “Un tavolo per due, per favore” (Une table pour deux, s’il vous plaît)

  • “Dov’è il bagno?” (Où sont les toilettes ?)

Les Siciliens adorent quand les visiteurs font l’effort de parler leur langue, même mal – une tentative hésitante déclenche souvent des sourires et une aide spontanée.

Dans les villages reculés ou les marchés locaux, peu de gens parlent anglais – c’est là qu’une appli de traduction instantanée (Google Translate, avec option hors connexion) devient précieuse, surtout pour déchiffrer les menus écrits à la main en dialecte.

Les panneaux routiers et indications sont toujours en italien, mais les noms de lieux ressemblent souvent au français (Catania = Catane, Siracusa = Syracuse) – pas trop de confusion à craindre.

L’essentiel est d’aborder les rencontres avec bienveillance : un “grazie” (merci) ou un “bellissimo!” (très beau !) en italien ouvre plus de portes qu’un anglais parfait lancé sans préambule. Avec ce mélange d’italien de base, de gestes expressifs et de patience, vous vivrez une immersion bien plus riche que ceux qui restent bloqués sur l’anglais – la Sicile se découvre aussi par les sons de sa langue.

Comment puis-je utiliser mon téléphone portable en Sicile ?

Rien de plus simple. Si vous avez un forfait mobile français ou européen (Free, Orange, SFR, Bouygues), vous bénéficiez de l’itinérance gratuite dans toute l’UE grâce aux règles européennes – vos appels, SMS et données mobiles fonctionneront comme en France sans frais supplémentaires, avec généralement une limite de data entre 15 et 25 Go selon votre opérateur.

Pour appeler de la France vers l’Italie, vous devez d’abord composer l’indicatif international 00 39 suivi du numéro de téléphone italien sans le premier zéro – par exemple, pour joindre un numéro à Rome qui serait normalement le 06 1234 5678, vous composerez 00 39 06 1234 5678 depuis votre téléphone français.

Dans l’autre sens, lorsque vous appelez de l’Italie vers la France, il faut utiliser l’indicatif international 00 33 puis le numéro français sans le zéro initial – un numéro parisien comme 01 23 45 67 89 se composera donc 00 33 1 23 45 67 89 depuis un téléphone italien.

Les femmes peuvent-elles voyager seules en Sicile ?

Les femmes voyageant seules en Sicile peuvent globalement visiter l’île en toute sécurité, à condition d’adopter quelques précautions de bon sens comme dans toute destination méditerranéenne.

La Sicile reste une société traditionnelle où les regards appuyés et les commentaires dans la rue (“compliments” parfois lourds) peuvent surprendre, surtout dans les petites villes de l’intérieur – ignorer ces comportements ou répondre par un calme mais ferme “Basta, grazie” suffit généralement à couper court.

Dans les grandes villes touristiques comme Palerme, Catane ou Taormina, vous vous déplacerez sans problème majeur en journée comme en soirée, en privilégiant les rues animées et les transports officiels (taxis licenciés avec compteur) après la tombée de la nuit.

Les Siciliens sont réputés pour leur hospitalité et viendront souvent spontanément en aide si vous semblez perdue ou en difficulté – n’hésitez pas à entrer dans une boutique ou à demander de l’aide à une femme locale si vous vous sentez mal à l’aise.

En suivant ces principes de base (vigilance normale, respect des codes locaux et confiance en son instinct), une femme seule peut parfaitement profiter des merveilles siciliennes.

Parlons argent, banque et change

Là aussi, rien de révolutionnaire. La lire s’est depuis longtemps évaporée, vous n’aurez besoin que de vos euros. Des distributeurs de monnaie sont partout présents dans le centre-ville. Pour les paiements, préférez si possible le paiement en liquide (les Italiens le privilégient aussi !). On n’est jamais trop prudent, les arnaques à a carte bancaire sont nombreuses dans la péninsule.

Quels sont les vaccins à faire pour voyager en Sicile ?

Aucun vaccin n’est obligatoire pour pénétrer en Italie. Toutefois, veillez à être à jour de vos rappels, ça peut toujours servir. Surtout si comme moi, vous vous plantez un clou rouillé dans une zone de baignade au large de Syracuse. La septicémie est si vite arrivée…

Quelles sont les règles de base à respecter pour préserver sa santé ?

Le soleil sicilien peut être impitoyable, particulièrement entre juin et septembre : appliquez généreusement une crème solaire haute protection (indice 50+), portez un chapeau et des lunettes de soleil, et évitez de vous exposer aux heures les plus chaudes (12h-16h) pour prévenir les insolations.

Les repas siciliens sont copieux et riches en huile d’olive, fromages et charcuteries – si votre estomac est sensible, introduisez progressivement ces nouvelles saveurs et limitez les excès de street food frite dès les premiers jours pour éviter les troubles digestifs.

Les moustiques, surtout actifs au crépuscule près des zones humides, peuvent gâcher vos soirées en terrasse – un répulsif efficace contenant du DEET ou de l’icaridine, combiné à des vêtements couvrants légers, vous protégera des piqûres et des maladies qu’elles pourraient transmettre.

La conduite parfois anarchique des Siciliens et l’état irrégulier de certaines routes secondaires exigent une vigilance accrue si vous louez un véhicule – attachez toujours votre ceinture, respectez les limitations de vitesse et méfiez-vous des scooters qui surgissent sans prévenir.

Les pharmacies (farmacia) sont bien approvisionnées et le personnel est généralement compétent pour les petits bobos – emportez cependant vos médicaments habituels et une trousse de premiers soins avec antidiarrhéiques, antalgiques et pansements, surtout si vous logez en zone rurale.

Les baignades en mer présentent peu de risques sanitaires, mais certaines plages urbaines peuvent être temporairement fermées après de fortes pluies en raison des écoulements d’eaux usées – respectez toujours les drapeaux de baignade et privilégiez les criques rocheuses aux eaux transparentes. A Syracuse, ne faites pas comme moi, ne vous accrochez pas aux bouées : c’est comme cela que je me suis planté un clou rouillé dans la main !

Enfin, une assurance voyage couvrant les soins médicaux et le rapatriement est fortement recommandée, bien que les ressortissants européens puissent bénéficier de soins d’urgence avec la CEAM (Carte Européenne d’Assurance Maladie) – gardez toujours ses coordonnées sur vous avec un justificatif d’identité.

Quelle est la meilleure saison pour partir en Sicile ?

Pour concilier météo clémente, tarifs intéressants et expérience immersive, la mi-saison (avril-mai et septembre-octobre) s’impose comme le sweet spot – vous éviterez à la fois les chaleurs écrasantes, les files d’attente interminables et les nuits d’hôtel au prix prohibitif, tout en goûtant à la vraie vie sicilienne qui reprend ses droits entre deux vagues de visiteurs.

Le printemps (avril à juin) est sans doute la période la plus enchanteresse : les températures oscillent entre 20 et 28°C, idéales pour explorer les sites archéologiques ou randonner dans l’arrière-pays sans souffrir de la chaleur, tandis que les amandiers en fleur et les champs d’agrumes embaument les campagnes – c’est aussi la saison où les prix restent raisonnables avant l’afflux estival.

L’automne (septembre à octobre) rivalise d’atouts avec des eaux encore chaudes (24-26°C) parfaites pour des baignades prolongées, des vendanges festives dans les vignobles du Etna et des couchers de soleil dorés sur les temples d’Agrigente – les touristes étant moins nombreux, vous profiterez d’une Sicile plus authentique.

L’été (juillet-août) séduit les amateurs de farniente avec son soleil omniprésent et ses plages animées, mais les températures frôlant souvent les 35-40°C peuvent rendre éprouvantes les visites culturelles en milieu de journée – c’est aussi la haute saison où les prix flambent et où la foule s’agglutine dans les sites iconiques comme Taormina ou la Scala dei Turchi.

L’hiver (novembre à mars) réserve des surprises avec ses paysages verdoyants, ses températures douces (15-18°C en journée) et l’absence quasi totale de touristes – si vous rêvez d’avoir le théâtre antique de Syracuse ou les ruelles de Palerme rien que pour vous, c’est le moment, même si quelques attractions touristiques réduisent leurs horaires et que la baignade devient frisquette.

Quel décalage horaire ?

Pas de panique, il n’y a pas de décalage horaire entre la France et l’Italie. Pour Palerme, comptez 2 h 15 à 2 h 30  de vol depuis Paris.

Que mettre dans la valise pour partir en Sicile ?

J’ai envie de vous dire : tout dépend de la saison à laquelle vous souhaitez vous y rendre. 

En été, glissez dans vos bagages des vêtements respirants en lin ou coton pour affronter les chaleurs diurnes – pensez aux robes fluides ou aux chemises amples qui protègent du soleil tout en restant élégantes pour flâner dans les ruelles baroques.

Un chapeau à large bord et des lunettes de soleil UV400 deviendront vos indispensables dès les premiers rayons printaniers jusqu’aux ciels ardents de l’été, tandis qu’une petite laine ou une veste légère s’avérera précieuse pour les soirées printanières ou automnales où la brise marine rafraîchit l’air.

Prévoyez au moins deux maillots de bain et une serviette ultra-absorbante pour enchaîner les baignades entre les criques de Favignana et les plages de sable noir de l’Etna, sans oublier une paire de sandales aquatiques pour les fonds rocheux de Taormine.

Dans votre trousse de toilette, une crème solaire haute protection (indice 50+) et un stick à lèvres UV seront vos meilleurs alliés contre le soleil sicilien qui tape fort dès avril, accompagnés d’un répulsif anti-moustiques efficace pour les soirées estivales près des zones humides.

Choisissez des chaussures hybrides – des espadrilles confortables pour le pavé irrégulier des centres historiques, une paire de baskets légères pour arpenter les sites archéologiques, et éventuellement des sandales habillées pour les dîners en front de mer.

Enfin, laissez toujours de la place pour rapporter quelques spécialités locales – des sachets de pistaches de Bronte, des biscuits aux amandes de Noto ou une bouteille de Nero d’Avola mériteront bien ce sacrifice vestimentaire.

Quels souvenirs acheter en Sicile ?

La Sicile regorge d’artisanat et de spécialités gourmandes qui feront d’excellents souvenirs pour prolonger le voyage une fois rentré.

Commencez par les incontournables produits alimentaires comme les pistaches de Bronte, dorées et parfumées, à rapporter en sachet ou sous forme de pesto crémeux, ou encore les câpres de Salina, mondialement réputées pour leur goût intense.

Les vins siciliens s’imposent comme un cadeau savoureux – une bouteille de Nero d’Avola aux notes épicées ou un Passito de Pantelleria, liquoreux et fruité, raviront les amateurs, tandis que le Marsala, ce vin muté historique, se décline en versions douces ou sèches parfaites pour l’apéritif.

Côté pâtisseries, les biscuits aux amandes de Noto ou les barres de gianduja (chocolat-purée de noisettes) se conservent bien et résument la douceur sicilienne, sans oublier les fameux cannoli, à déguster sur place mais dont on peut ramener les croustillantes gaufres vides à garnir chez soi.

Pour un souvenir artisanal, tournez-vous vers les céramiques peintes à la main de Caltagirone, reconnaissables à leurs motifs solaires et baroques – assiettes, carreaux ou petits miroirs décoratifs apporteront une touche méditerranéenne à la maison.

Les marionnettes traditionnelles (pupi siciliani), héritières d’un art classé à l’UNESCO, font des objets de décoration chargés d’histoire, tout comme les tissus brodés ou les napperons en filet, typiques du savoir-faire des femmes siciliennes.

Un flacon d’huile d’olive d’une presse locale ou du sel aromatisé aux herbes des salines de Trapani rappelleront les saveurs du terroir, tandis qu’une boîte de thon ventresca (filet de thon rouge) des conserveries de Favignana fera un cadeau original pour les gourmets.

Enfin, pour un souvenir minéral, un morceau de lave de l’Etna poli ou un bijou en pierre de lave monté en argent offriront une touche volcanique et élégante à rapporter dans ses bagages.

Combien coûte le pourboire en Sicile ?

En Sicile, le pourboire (la mancia) n’est pas obligatoire, mais il est apprécié pour récompenser un bon service, surtout dans les lieux touristiques.

Dans les restaurants, si le service n’est pas déjà inclus (vérifiez l’addition, parfois noté “servizio incluso”), il est courant d’arrondir ou de laisser 5 à 10 % du total – par exemple, pour une note de 50 €, 2 à 5 € en liquide sur la table suffiront.

Pour les bars et cafés, laissez simplement 0,50 à 1 € après un espresso ou un cappuccino, surtout si vous êtes attablé – les Siciliens eux-mêmes le font souvent, surtout dans les endroits qu’ils fréquentent régulièrement.

Les chauffeurs de taxi n’attendent pas de pourboire, mais arrondir au euro supérieur (par exemple, 15 € pour une course de 13,50 €) est une gentillesse bien vue, surtout si le chauffeur a aidé avec les bagages.

Dans les hôtels1 à 2 € par jour pour le personnel de ménage (laissé dans la chambre en partant) et 5 € pour le porteur en cas de gros bagages sont des gestes appréciés mais pas systématiques.

Pour les guides touristiques, si vous avez apprécié leur expertise, 5 à 10 € par personne (ou 10-15 € pour une famille) à la fin de la visite est une marque de gratitude courante.

Peut-on boire l'eau du robinet ?

Si boire l’eau du robinet en Sicile ne présente pas de danger sanitaire majeur dans la plupart des cas, son goût particulier et les habitudes locales poussent la majorité des visiteurs à se tourner vers l’eau en bouteille pour leur confort quotidien. Comme souvent en voyage, le meilleur conseil reste de suivre l’exemple des habitants et d’adapter votre consommation.

D’un point de vue sanitaire, l’eau du robinet est officiellement potable dans les grandes villes comme Palerme, Catane ou Syracuse, répondant aux normes européennes de potabilité. Les autorités locales affirment qu’on peut la consommer sans crainte pour sa santé, du moins dans les zones urbaines principales.

Pourtant, la plupart des Siciliens eux-mêmes évitent de boire l’eau courante, préférant largement l’eau en bouteille. Cette méfiance locale s’explique en partie par le goût souvent désagréable de l’eau, qui peut être fortement chlorée ou légèrement salée selon les quartiers, en raison des vieilles canalisations et des procédés de traitement.

Dans les petits villages de l’intérieur ou sur certaines îles comme Pantelleria et Lampedusa, la situation est plus aléatoire. L’eau provient parfois d’usines de dessalement et peut avoir un goût encore plus prononcé, incitant à la prudence. Les habitants sauront vous conseiller si vous leur demandez franchement leur avis.

Au restaurant, lorsque vous commandez “acqua del rubinetto”, certains serveurs vous regarderont avec surprise, mais ils vous serviront généralement une carafe d’eau filtrée tout à fait potable. Pour éviter les regards interrogateurs, beaucoup de touristes optent simplement pour une bouteille d’eau plate ou gazeuse, qui reste très abordable (1 à 2 euros en moyenne).

Pour préparer vos infusions ou cuisiner, l’eau du robinet fera parfaitement l’affaire, même si son léger goût peut parfois altérer les saveurs délicates du thé ou des préparations culinaires les plus fines. Dans ce cas, une filtration supplémentaire peut être utile.

L’eau en bouteille locale, comme la Smeraldina ou la Santagata, offre une alternative bon marché et savoureuse, largement disponible dans toutes les épiceries et supermarchés de l’île. Son prix modique (souvent moins cher qu’en France) en fait une solution pratique pour éviter tout désagrément.

Certains hôtels et locations touristiques installent désormais des fontaines à eau filtrée ou des distributeurs, répondant à la fois aux préoccupations écologiques et aux réticences des visiteurs face à l’eau courante. N’hésitez pas à vous renseigner auprès de votre hébergement.

Et les toilettes, c'est comment ?

En Sicile, les toilettes suivent globalement les standards européens, mais avec quelques particularités locales qui valent la peine d’être connues pour éviter les mauvaises surprises.

Dans les hôtels, restaurants modernes et lieux touristiques, vous trouverez des toilettes à l’occidentale tout à fait classiques, généralement bien entretenues, avec papier toilette et installations récentes – aucun dépaysement à prévoir dans ces endroits.

Les vieux bâtiments et les établissements plus traditionnels gardent parfois des toilettes à la turque (squat), surtout dans les gares routières, les stations-service isolées ou les petits cafés de village – mieux vaut vérifier avant de s’installer si vous n’êtes pas familier avec ce système.

Le papier toilette est normalement fourni dans la plupart des lieux, mais il reste prudent d’en garder quelques feuilles sur soi quand on explore des sites reculés ou des petites échoppes – certains endroits affichent d’ailleurs clairement “Non gettare carta nel water” (Ne jetez pas de papier dans les toilettes), car les canalisations anciennes s’obstruent facilement.

Dans les toilettes publiques payantes (comme celles des gares ou des aires d’autoroute), comptez généralement 0,50 à 1 € pour l’accès, souvent avec un tourniquet ou une gardienne qui distribue quelques feuilles de papier en échange de la pièce – gardez toujours de la monnaie à portée de main pour ces cas-là.

Les stations-service le long des routes principales constituent souvent une bonne option pour faire une pause-toilettes propre et gratuite lors des longs trajets en voiture – les grandes enseignes comme IP ou Eni entretiennent généralement bien leurs sanitaires.

Au restaurant, il est poli d’acheter au moins un café ou une boisson si vous demandez à utiliser les toilettes sans être client – les petits commerçants apprécient ce geste de courtoisie, surtout dans les endroits très fréquentés par les touristes.

Peut-on voyager avec des enfants ?

Oui, bien entendu. Voyager en Sicile avec des enfants est tout à fait possible et peut même se révéler une expérience merveilleuse tant l’île regorge d’activités adaptées aux jeunes voyageurs.

Les Siciliens adorent les enfants et leur réservent un accueil chaleureux – dans les restaurants, on vous proposera souvent spontanément des chaises hautes et des pâtes simples “in bianco” (nature avec du beurre) pour les plus petits, tandis que les serveurs s’amusent à faire rire les bambins avec quelques mots de français.

Les plages de sable fin comme celles de San Vito Lo Capo ou de Cefalù, aux eaux peu profondes et transparentes, sont idéales pour les baignades en famille, avec en prime la possibilité de louer des parasols et transats à la journée pour le confort de tous.

Les sites archéologiques majeurs comme la Vallée des Temples ou le théâtre de Taormina captiveront les jeunes esprits si vous transformez la visite en chasse au trésor – beaucoup proposent d’ailleurs des audioguides spécial enfants ou des livrets-jeux pour les 6-12 ans.

Pour une pause ludique, le parc d’attractions Etnaland près de Catane combine toboggans aquatiques et reconstitution de dinosaures, tandis que le petit train de l’Etna permet d’approcher le volcan sans effort, avec des explications adaptées aux jeunes visiteurs.

Avec ses glaces artisanales à tomber, ses pizzas à emporter et son climat doux même en intersaison, la Sicile séduira toute la famille – il suffit d’adapter le rythme des visites et de prévoir toujours de l’eau et un chapeau pour les plus petits.

Entre baignades mémorables, découvertes historiques version Indiana Jones et spécialités gourmandes qui font l’unanimité, vos enfants reviendront probablement avec des étoiles plein les yeux – et l’envie d’y retourner !

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